MOTW – Altered Beast
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):7/10
La mélodie adoucit les mœurs..
Le rire permet de rendre heureux, mais le rire est un art. Il ne suffit pas de quelques blagues pour être un comédien : cela s’apprend, il y a des normes, des bases.
Tout comme la musique.
Le rire permet aussi de guérir, de mieux se sentir mentalement, un rire de gorge permet de s’éclaircir la voix, une crise de fou rire vous apaisera des maux de ventre, pour ceux qui souhaitent arrêter la nicotine, le meilleur moyen est la thérapie par le rire. Mais attention, le rire peut aussi faire mal, mal utilisé il peut se retourner contre vous. Il ne faut pas le sous estimer, et savoir juger la dose d’humour à mettre dans chaque phrases.
Electric Worry – Back to Motor City
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 7/10
Un peu de simplicité fait quand même souvent du bien. Nombre de personnes cherchent toujours les complications, vivent dans le stress et se prennent la tête pour la moindre broutille. Mais faire compliqué n’est pas facile, et surtout à vivre. Arrêtez-vous un petit moment et vivez l’instant présent.
Electric Worry l’a bien compris. Bien que leur présent ressemble quand même un passé proche, cette formation de Rock évolue dans le style le plus simple du terme, du groove qui fait du bien, mélangeant le Hard qui sent le garage avec un soupçon de stoner
Hacktivist – Hacktivist
Note du SoilChroniqueur (Homer_Fry) : 8.5/10
On sait peu de choses sur ce groupe anglais, site hors d’usage, biographie pas très explicite sur les réseaux sociaux, et même sur les docs presses pour la promo, ils paraissent discrets sur le sujet, on ne peut pas leur en vouloir même si on désirerait en connaitre d’avantage. Hacktivist est donc leur première sortie, sous forme d’EP 5 titres plutôt court avec ces dix-neuf malheureuses minutes qui ont malgré tous permis d’être un des EP underground les plus attendus grâce notamment à un single « Unlike Us » qui a tourné sur la Kerrang ! Radio entre autres.
Karma Zero – Architecture Of A Lie
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 6,5/10
Il est rare de voire des fans de Heavy et Hard apprécier les styles plus extrêmes. Cela est pourtant bien dommage car beaucoup de formations nous proposent quand même de la musique de qualité, et se fermer à certains genres c’est un peu se bloquer de nouveaux axes de plaisirs. Il est vrai que l’extrême fait peur, c’est violent et lugubre, le chant est parfois à peine audible, mais il faut aller plus loin dans l’écoute d’un album et apprécier son énergie. Si certains ont du mal avec le Black, commencez par la nouvelle vague de Core, un mélange de Punk et de Thrash, c’est aussi violent mais la voix (bien qu’il y ait de nombreux cris) est compréhensible et claire.
White Note – Amito
Et, si je n’en ai pas entendu parler, il faut croire que cette première offrande a su conquérir son public puisque c’est à lui que White Note a fait appel pour co-financer « Amito », l’EP dont on parle ici, par le biais d’un site participatif…
Monkey Bizne$$ – Monkey Bizne$$
Note du Soilchroniqueur (MetalFreak): 7/10
Sans vouloir faire mon Grenoblois qui ne jure que par sa ville de résidence, il faut reconnaître que la capitale iséroise est une des places fortes du Rock en France.
Entre José & The Wastemen, Oratrism, Virago, Firecrackers, Collapse, Duster 71, Mellaura, Paraffine, Holophonics, Rhesus, Sz, Stillrise ou Trompe Le Monde pour les plus connus d’entre eux, il y a une certaine concurrence et une concurrence certaine, mais aucun d’entre eux n’officie vraiment dans un Sleaze/Glam influencé par les Guns ‘n’ Roses ou Bang Tango comme l’est Monkey Bizne$$.
Cainan Dawn – Nibiru
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Bientôt dix ans d’existence, une très bonne demo « In darkness I reign » en 2007 et cet album « Nibiru » en 2011, Cainan Dawn est un groupe de Black Metal de Chambéry qui propose une musique froide directement inspirée de la période norvégienne du début des années 90.
Storm – Black visions
Note du Soilchroniqueur (MetalFreak) : 7/10
Pour parler de ce groupe du Nord Isère – La Tour du Pin, pour être précis – fondé en 2009, évoquer le terme de « coup de foudre » serait une façon assez basique de créer un effet jeu de mot qui aurait son petit succès à l’oral, mais dans le cadre d’une chronique écrite, on se contentera d’utiliser sobrement celui de « coup de cœur ».
En effet, c’est toujours plaisant de parler du premier EP d’une formation qui s’est forgé en écoutant tous les groupes qui ont fait, dans les années 80, ce qu’est le Metal aujourd’hui, pour nous servir un condensé de toutes ces influences oscillant entre le Hard Rock et le Heavy Metal.
Mudbath – The Red Desert Orgy
Tout ça, c’est bien beau, mais pour nous, les metalleux, qu’est-ce qu’il y a ?
Ignis Fatuus – Soulbreaker
D’entrée, avec « Soulbreaker », on est scotchés par la qualité des compositions : d’une réelle technicité, on se met immédiatement à penser à Death époque « Human » ou « Individual thought patterns », Loudblast des premiers albums, Massacre, Demolition Hammer voire Mercyless pour apposer un parallèle par rapport aux scènes locales.