Note du SoilChroniqueur (Alain Rebours) : 9/10

Après écoute de l’album, on sent une évolution, une noirceur mélodique qui vous prend aux tripes.
Les Marseillais ont bien planté leur trident dans la sphère du death metal, riffs incisifs avec des mélanges de passages mélodieux et le chant parlé comme un narrateur qui observe son histoire.
Le premier morceau n’a pas été joué en live, mais son écoute vous amène dans un monde obscur, riffs lourds mid tempo, alternance des chants en anglais et en français et accélérations des tempos, une belle construction pour ce morceau de 20 minutes.

“A Thousand lives in a second”, intro lourde et voix possédée, refrain en francais et voix posée, les mélanges des chants donnent l’ambiance, superbe travail.
“The son of a God” alterne rythmes rapides et plus lents, le refrain avec son piano et ses accélérations vous martèlent les tympans.
Intro digne d’un holocaust  « May this world burn » galope tels les cavaliers de l’apocalypse, les orchestrations sont mené de main de maître.
Le final avec la reprise de “Black trip” (Samael) est une perle, Acod a frappé fort et noir.
Un diamant en cours de polissage…

Tracklist :

1. Habentis Maleficia (20:21)
2. The Son of a God (The Heir of Divine Blood) (6:22)
3. A Thousand Lives in a Second (4:33)
4. May This World Burn (7:15)
5. Black Trip (reprise Samael) (3:28)

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