Line-up sur cet Album
Israel Savaris : Basse, Chant Eduardo Polidori : Batterie Igor Dornelles : Guitare, Chant
Style:
Brutal Death Metal TechniqueDate de sortie:
03 Décembre 2019Label:
TratoreNote du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Parmi les groupes ayant émergé au cours de ces cinq dernières années, les Brésiliens de Bloody Violence font sans aucun doute possible partie de mes favoris. En un EP (« Obliterate », 2014) et un album (« Divine Vermifuge », 2015) le trio a tué le game du Brutal Death technique, notamment grâce au jeu de shredder fou du guitariste Igor Dornelles, aussi impressionnant sur disque que sur scène.
Mais Bloody Violence, ce n’est pas qu’une curiosité de foires du fait d’un musicien hors pair, c’est un tout fasciné par la violence, le bizarre, le complexe et l’expérimentation dans les riffs aliénants. Une simple écoute de « The White Box » suffira à vous en convaincre.
Il a mis quatre ans à arriver, ce « Host ». Quatre longues années pour seulement trente minutes de musique et huit titres. Mais quelles trente minutes ! Quels huit titres ! Les mecs sont tellement hauts dans la maîtrise de leur musique que l’attente est pardonnée dès la première écoute, avec en prime de purs éclairs de génie (« Unfit Thought Processes »).
S’il y avait un disque de Brutal Death à ne pas manquer l’année dernière, c’était bien celui-là. Claque ultime.
Tracklist :
01. Decompression Sickness
02. Visceral Memories
03. The white Box
04. Whispers of Anguish
05. Necessary Evil
06. Hosting the Unknown
07. Unfit Thought Processes
08. Deformed primal Perception
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