Blüe Öyster Cult – Curse of the hidden mirror (2001, reissue 2020) ...
Line-up sur cet Album
- Donald « Buck Dharma » Roeser : Guitares, Chant sur 1,4,7 et 9
- Eric Bloom : Chant sur 2,3,5,6,8,10 et 11, Guitares
- Danny Miranda : Basse, Choeurs
- Allen Lanier : Claviers, Guitares, Choeurs
- Bobby Rondinelli : Batterie, Percussions.
- Guests : Norman DelTufo : Percussions
- George Cintron : Chœurs.
Style:
Hard RockDate de sortie:
12 juin 2020Label:
Frontiers RecordsNote du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6/10
Depuis juillet 2019 avec l’information de Blüe Öyster Cult d’une signature chez Frontiers Records et l’annonce d’un nouvel album pour 2020, le label prend soin tant de ressortir des anciens albums que des lives inédits.
Initiative pour le moins louable qui, espérons-le, annonce au moins un bon album du groupe : Eric Bloom le disait lui-même « Cela fait longtemps que BÖC n’a pas sorti d’album studio. La question qui revient le plus souvent parmi nos fans est ‘quand est-ce que vous enregistrez de nouveaux morceaux ?’. Maintenant, nous sommes prêts pour cette aventure. »
Entre temps, le label aura ressorti “Heaven forbid” (1998), la compilation “Cult classic” (1994), le live “A long day’s night” (2002) et “iHeart Radio Theater N.Y.C. 2012”.
Autant dire qu’ils savent annoncer les retours, chez Frontiers Records !
Cet album, le quatorzième du groupe sorti en 2001, aura été le dernier album du groupe qui se séparera du label Sanctuary Records suite à des mauvaises ventes et des relations déplorables avec le label.
A titre personnel, ce disque m’avait gonflé à sa sortie : un groupe qui nous avait sorti des titres, liste non exhaustive, comme “(Don’t fear) the reaper”, “Fire of unknown origin”, l’incroyable “Black blade”, “Burnin’ for you”, “Shooting shark”, “Eyes on fire”, “Feel the thunder”, “I am the one you warned me of”, “Les invisibles”, “Blüe Ösyter Cult” ou “The siege and investiture of baron Von Frankenstein’s castle at Weisseria” (et je ne parle que de mes préférés), quand on se retrouve à écouter coup sur coup “Heaven forbid” (1998) et celui-ci, y a de quoi se prendre la tête !
Cette réédition de Frontiers Records est l’occasion de redonner une chance à cet album.
Alors en effet, je ne retrouve toujours pas la magie des titres mentionnés plus haut, loin de là !
Mais si ce “Curse of the hidden mirror” s’avère être un honnête album de hard rock, ça reste toujours un mauvais album de Blüe Öyster Cult !
Effectivement, tout sonne très professionnel, très carré, le relifting est payant et certains titres font plaisir à (ré)écouter : “Dance on stilts”, “Showtime”, “The old golds return”, le plus nerveux “One step ahead of the devil”, “Stone of love” ou “Eye of the hurricane” sont même plaisants à se repasser plusieurs fois…
Mais une fois de plus, si je veux vraiment me faire plaisir avec Blüe Öyster Cult, je me passe en boucle un “Imaginos” (1988) qui reste pour moi leur disque le plus abouti, ou “The revölution by night” (1983) et ses titres particulièrement savoureux !
Malgré tout, cette réédition me réconcilie avec cet opus, que je trouve finalement sympathique mais sans plus, et que j’avais totalement rejeté à sa sortie pour ne jamais y reposer une oreille.
J’ai de gros espoirs pour l’album à venir et j’espère surtout ne pas être à nouveau déçu…
Tracklist :
1. Dance on Stilts (6:05)
2. Showtime (4:39)
3. The Old Gods Return (4:37)
4. Pocket (4:17)
5. One Step Ahead of the Devil (4:17)
6. I Just Like to Be Bad (3:55)
7. Here Comes That Feeling (3:22)
8. Out of the Darkness (5:06)
9. Stone of Love (5:49)
10. Eye of the Hurricane (4:41)
11. Good to Feel Hungry (4:13)
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