Daedalus – The Never Ending Illusion

Le 8 mars 2010 posté par Metalfreak

Line-up sur cet Album


01 – Waiting for the Dawn 02 – Perfect Smile 03 – Life 04 – Hopeless 05 – Cold Embrace 06 – The Never Ending Illusion 07 – The Dancers 08 – Horizons in a Box 09 – A Journey to Myself 10 – Mare di stele

Style:

Metal Progressif

Date de sortie:

29 janvier 2009

Label:

Galileo Records

Note du Soilchroniqueur (Poulika):
6 / 10

Fils des générations de groupes phares qui ont fricoté avec le succès du métal progressif, Daedalus, formation transalpine semble en effet être une de ces bandes faisant la synthèse de l’age d’or des artistes populaires dans ce milieu. Les influences du quintet ne manquent pas, les plus visibles semblent être le Dream Theater de l’époque Awake/Images & Words ou un Symphony X moins puissant. Bref encore un clone moderne qui ne sort rien de vraiment original mais qui a le large mérite de jouer de la musique de qualité et ça, ce n’est pas rien.

La chose à savoir avant de commencer l’écoute de ce « The never Ending Illusion » c’est que comme toute musique aussi difficile d’accès du genre, il y a un certain temps d’adaptation pour digérer chaque piste ornant cette plaquette. L’inspiration débordante et fougueuse des musiciens rajoute à cela une certaine atmosphère qu’on ne peut réellement capter sans avoir jeté l’oreille plusieurs fois, à l’image de « Perfect Smile » partant un peu dans tous les sens, l’éponyme lui aussi nous file cet effet d’incomplétude lors de la première écoute. Mais après que ce joyeux bordel auditif soit rétabli, bien ancré dans la tête, qu’en sort il ?

Nous commençons par la courte introduction « Waiting for the dawn », donnant le ton de par son rythme et le son électronique plutôt dépassé. l’intensité monte et les guitares rugissent s’arrêtant subitement sur une sonnerie, et là commence réellement l’album. « Perfect Smile » et son ambiance malsaine montre le talent des musiciens qui nous foutent du riff efficace et des changements imprévisibles, L’individualisme des instruments montre aussi le manque d’homogénéité de la musique qui est un problème touchant l’album de plein fouet. S’enchaine rapidement « Life » qui nous apparait étrangement comme si elle était une suite (En entendant le chanteur on a vraiment l’impression qu’un couplet avait déjà été chanté, je sais pas, il faut écouter pour vraiment s’en rendre compte). Plus le titre avance plus le rythme qui était parti à fond de balle dés l’entrée se ralentit laissant place à un magnifique solo de fin (On reconnait là l’influence de John Petrucci, guitariste de Dream Theater). La construction de « Life » est remarquablement mise en place, le chant n’a pas de faille, dés lors, le titre fait, pour ma part, parti des meilleurs titres de l’album.

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