Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Voici donc le deuxième album qui sent bon le bouc et l’herbe fraîchement récoltée des Chiliens de Dixie Goat.

Pour aller droit à l’essentiel : si vous aimez Electric Wizard, Saint Vitus, les ambiances (voire les mélodies vocales) à la Kyuss et, à l’occasion la lourdeur de Bongzilla, Eyehategod ou Dopethrone, vous devriez trouver votre compte sur « There’s No Light Without Darkness« .

Oui, cela fait beaucoup de noms, mais en même temps le trio ne brille pas par son originalité. En revanche, il est particulièrement à l’aise pour écrire des titres enfumés et planants, avec un son bien roots et la bonne attitude de mecs à la cool.

Moi, perso, un album comme ça qui ne dure que trente minutes et m’accompagne le temps d’une bière à la figue de barbarie et piment, c’est exactement ce dont j’ai besoin ! Et puis l’air de rien, il y a vraiment des passages extras sur ce disque, « Widow’s Tear » par exemple : la bonne lourdeur, la bonne mélodie vocale, pas grand chose à redire là-dessus.

Allez, les températures remontent, on ne crachera pas sur un peu de stoner fidèle à la tradition.

Tracklist :

1. There’s No Light Without Darkness (04:44)
2. Dancin’ on Your Grave (02:56)
3. Two Faces (05:35)
4. Widow’s Tear (04:39)
5. Green Karma (03:02)
6. Zuma (02:09)
7. Supershit (02:35)
8. From One Hell to Another (06:04)

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