Line-up sur cet Album
Thomas.V - Chant Austin Pecnard - Guitare Takami Nakamoto - Guitare Pierre Collins - Basse Sébastien Benoits - Batterie
Style:
Post-HardcoreDate de sortie:
14 Octobre 2013Label:
Lifeforce RecordsNote du SoilChroniqueur (Homer_Fry): 8.5/10
Trois ans après un premier album bon mais plutôt répétitif et une poursuite judiciaire face au guitariste mythique de Misfits (Doyle Wolfgang von Frankenstein), Doyle revient sous le nom de Doyle Airence avec leur nouvel album « Monolith ».
« And Gods Will… », sorti en 2010, c’était du post-hardcore, pas trop de surprises, une routine qui faisait : musique hard+scream, musique hard+scream, musique hard+scream-chant clair, musique hard+scream avec un seul petit titre qui sortait vraiment du lot (John Airence).
Suite à ça, le groupe a fait évoluer sa musique, on le ressent chaque instant sur « Monolith ». Un son un peu dans le même style qu’auparavant mais une touche d’ambient metal à l’image de Deftones vient sublimer leurs musiques. Au final ça reste du post-hardcore mais plus calme parfois, souvent doux, ce qui reflète bien l’état actuel de cette scène actuellement, comme ce que Taste The Void fait du coté de Nantes.
Le chant passe un peu plus au second plan que par le passé, principalement à cause du coté ambient des titres mais pas que, il parait moins puissant et imposant également dans les musiques plus Hardcore, et surtout il n’y a pas de petite phrase, cette petite chose accrocheuse qui va nous faire chanter dès la deuxième ou troisième écoute.
Tout au long de l’album on ressent une influence pour Deftones grandissante depuis le précédent album qui n’avait pas ce son si atmosphérique, eux qui avaient ouvert pour la formation de Sacramento sur plusieurs shows de 2010. On pourrait les considérer comme leurs successeurs, au moins sur la scène française, comme s’ils avaient révélés la recette pour un bon crossover portant grandement sur l’ambient. Assaisonné à leur musique déjà presque parfaite 3 ans auparavant ce mélange créé une musique lente, puissante, parfois screamé et plus vivace mais tellement bien composé que les transitions ce font naturellement comme ils le faisaient sur « And Gods Will… » avec John Airence. Mais alors que sur cette dernière le style n’était pas encore parfait, ici tout est dans cette continuité mais mieux composé, avec surement plus d’expériences et d’idées sur ce son désiré, du début à la fin.
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