Line-up sur cet Album
- Simon Wright - Batterie
- Craig Goldy - Guitares
- Wayne Findlay - Claviers
- Diego Valdez - Chant
- Rudy Sarzo - Basse
Style:
Hard Rock/Heavy MetalDate de sortie:
14 Septembre 2018Label:
Frontiers RecordsNote du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
(Quelque part, tout là-haut, dans le quartier VIP des légendes disparues)
– Dis Pierrot, je viens de croiser Ronnie James, au bar du Horns up, et il me dit qu’il aimerait bien qu’on envoie un message sur Terre pour que se crée un groupe qui lui rappelle sa période entre Holy Diver et Lock up the Wolves. Visiblement, ça semble lui tenir à cœur…
– Putain Paulo, comme il y va ! C’est que ça ne va pas être facile à trouver, cinq musiciens capables de relever le challenge !
– Facile : déjà, il y en a trois qui vont le relever haut la main : prends Rudy Sarzo à la basse, Simon Wright à la batterie et Craig Goldy aux guitares. Autant te dire qu’avec ces trois là, qui ont fait partie de Dio, et notamment du dernier line up lorsque le lutin nous a rejoint, les bases sont déjà solides. Ensuite, aux claviers, le petit Wayne Findlay qui pianote aussi chez Michael Schenker’s Temple of Rock est tout à fait compétent vu que Jimmy Bain est désormais parmi nous, que Claude Schnell est aux abonnés absents et que Jens Johansson est déjà overbooké. Pour le chanteur, je suis sur que Diego Valdez – tu sais, le gars qui pousse ses vocalises chez Assignment, Iron Mask ou Electronomicon – fera un RJ-like pour le moins crédible…
– Nom du Barbu de la pièce du fond, ça fait limite all-star band… mais il s’agit de trouver un nom à la formation…
– Regarde Pierrot, que dirais-tu de Last in Line ?
– Déjà pris ! J’opterais plutôt pour un compromis entre “Dream Evil” et “Rock n’ roll Children”… Que penses-tu de Dream Child ? Avec un nom pareil, les fans du petit Ronnie vont suivre, c’est O-BLI-Gé !!!
– Et niveau musique ?
– On ne va pas prendre de risques : l’idée, c’est de faire revivre l’esprit du Dio de la grande époque, celle comprise entre 1983 et 1990. On va te me leur proposer douze titres, assez longs histoire de remplir un CD ras l’auréole, avec des titres suffisamment variés pour qu’on ne s’ennuie jamais pendant soixante-dix minutes, et tu verras que le plus dur des metalleux nostalgiques ne pourra s’empêcher d’adhérer à 200%. J’y mettrais mes ailes à couper !
Weird
– On va glisser le mot au patron de Frontiers Records histoire qu’il donne l’idée à Craig Goldy de créer cette superbe formation et tu vas voir que si les auditeurs écoutent cet album en fermant les yeux, ils vont vraiment croire que Ronnie James est ressuscité. Les morceaux auront une vraie puissance qui colleront la patate ou les frissons aux fans et ça nous fera un album qu’on pourra glisser entre Holy Diver, The Last in Line ou Dream Evil sans que quiconque n’y trouve rien à redire !
– Et dans l’absolu, tu mets quelques titres imparables qui feront mouche en concert comme du « Under the Wire », « Midnight Song », « And a World so cold » ou du « Playing with Fire » et je ne te dis pas le nombre de pieds qui vont être tapés sur le sol en mesure en secouant les crinières…
– Si je n’y étais pas déjà, je dirais que tu me promets le paradis…
– Ça fait huit ans que les fans rêvent d’un tel album, autant leur faire ce plaisir vu l’ambiance générale en bas… On leur doit bien ça ! Et Ronnie James va adorer… Plus bel hommage, ça va être très dur à faire !
Tracklist :
1. Under the Wire (5:42)
2. You can’t take me down (7:20)
3. Games of Shadows (5:58)
4. It is what it is (4:24)
5. Playin’ with Fire (4:21)
6. Light of the Dark (5:05)
7. Midnight Song (4:24)
8. Until Death do we meet again (7:48)
9. Washed upon the Shore (6:42)
10. In a World so cold (4:28)
11. Weird World (5:44)
12. One Step beyond the Grave (8:52)
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