Line-up sur cet Album
- Shogoth – Basse
- Enrique – Batterie
- Des – Guitares
- Oscar – Guitares
- Edu – Chant
Style:
Death / Thrash MetalDate de sortie:
26 novembre 2021Label:
War Anthem RecordsNote du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
C’est du plus profond des cryptes de Barcelone que provient ce quintet reformé en 2016 (après une première “vie” anecdotique entre 2009 et 2011) par des vétérans de la scène extrême Catalane (Onirophagus, Decapitated Christ, Empanadilla de Pus, Ered, Ouija…). En 2017, un premier album “Buried in Morningside” voit le jour et propose de vieux titres qui, en à peine moins d’une demi-heure, les fait connaître comme l’un des groupes de thrash metal les plus evil de la Péninsule Ibérique.
Quatre ans plus tard, voilà ce “Tales from the Ancient Grave” qui se veut être un véritable hommage aux films d’horreur de la période seventies / eighties (“Maniac”, “The Sentinel”, “The thing”…). De dominante thrash metal à la façon des vieux Sodom, Sepultura ou Celtic Frost, Estertor colle bon nombre d’influences à chercher dans le black (les premiers Bathory) ou le death metal (Possessed, Death, Massacre, Obituary).
L’ambiance y est des plus malsaines et, à l’image de l’excellent artwork en noir et blanc bourré de références cinématographiques et signé César « CesarCold » Valladares Fernández (bassiste de Decapitated Christ mais aussi responsable de pochettes d’Asphyx – « Deathhammer » – Insulters, Graveyard, Grind Zero…), elle nous plonge de suite dans un univers horrifique des plus glauques.
La musique n’est pas des plus intenses, même si le tempo est souvent rapide avec son lot de riffs saccadés et assassins, sur lesquels une basse omniprésente remplit son travail de sape. Cette dominante de thrash metal old school s’avèrera être un régal pour tout adorateur de musiques crues et sans concession !
Estertor nous propose une pure tuerie offrant quelques sueurs froides dignes des films desquels le groupe se réclame !
A défaut d’être l’album de l’année, « Tales from the Ancient Grave » se laisse écouter sans déplaisir, avec la sensation de se prendre quelques petites émotions fortes.
Tracklist :
1. Assimilating Flesh (5:21)
2. Venereal Horror (3:52)
3. Nocturnal Strigoi (2:38)
4. The Torch That Corrupted the Earth (4:30)
5. Blood for Sheetar (3:43)
6. Repugnant Face of Death (4:41)
7. Tales From the Ancient Grave (5:03)
8. Worship the Black Goat (2:48)
9. Keeper of Hell (4:56)
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
C’est du plus profond des cryptes de Barcelone que provient ce quintet reformé en 2016 (après une première “vie” anecdotique entre 2009 et 2011) par des vétérans de la scène extrême Catalane (Onirophagus, Decapitated Christ, Empanadilla de Pus, Ered, Ouija…). En 2017, un premier album “Buried in Morningside” voit le jour et propose de vieux titres qui, en à peine moins d’une demi-heure, les fait connaître comme l’un des groupes de thrash metal les plus evil de la Péninsule Ibérique.
Quatre ans plus tard, voilà ce “Tales from the Ancient Grave” qui se veut être un véritable hommage aux films d’horreur de la période seventies / eighties (“Maniac”, “The Sentinel”, “The thing”…). De dominante thrash metal à la façon des vieux Sodom, Sepultura ou Celtic Frost, Estertor colle bon nombre d’influences à chercher dans le black (les premiers Bathory) ou le death metal (Possessed, Death, Massacre, Obituary).
L’ambiance y est des plus malsaines et, à l’image de l’excellent artwork en noir et blanc bourré de références cinématographiques et signé César « CesarCold » Valladares Fernández (bassiste de Decapitated Christ mais aussi responsable de pochettes d’Asphyx – « Deathhammer » – Insulters, Graveyard, Grind Zero…), elle nous plonge de suite dans un univers horrifique des plus glauques.
La musique n’est pas des plus intenses, même si le tempo est souvent rapide avec son lot de riffs saccadés et assassins, sur lesquels une basse omniprésente remplit son travail de sape. Cette dominante de thrash metal old school s’avèrera être un régal pour tout adorateur de musiques crues et sans concession !
Estertor nous propose une pure tuerie offrant quelques sueurs froides dignes des films desquels le groupe se réclame !
A défaut d’être l’album de l’année, « Tales from the Ancient Grave » se laisse écouter sans déplaisir, avec la sensation de se prendre quelques petites émotions fortes.
Tracklist :
1. Assimilating Flesh (5:21)
2. Venereal Horror (3:52)
3. Nocturnal Strigoi (2:38)
4. The Torch That Corrupted the Earth (4:30)
5. Blood for Sheetar (3:43)
6. Repugnant Face of Death (4:41)
7. Tales From the Ancient Grave (5:03)
8. Worship the Black Goat (2:48)
9. Keeper of Hell (4:56)
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