Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Décidément, il y a une certaine recrudescence du bon vieux black / thrash metal depuis quelques mois.
Et on ne va pas s’en plaindre.
Bien sûr, ce n’est sûrement pas le genre qui va nous surprendre d’une quelconque façon, tant il reste ancré, tant dans la vitesse d’exécution, que dans la noirceur la plus absolue.
En clair, on ne va chercher trop loin la mélodie et encore moins la revolution d’un genre qu’on pourrait croire usé jusqu’au bout des crucifix, mais toujours est-il qu’on arrive toujours à y trouver notre compte.
Allez savoir pourquoi !

Et ce ne ne sont sûrement pas les trois félés d’Irönwitch qui vont contredire ce propos, loin de là !
Rien qu’en observant le visuel, on sait déjà qu’il n’y a pas mensonge sur la marchandise : pochette en noir et blanc avec un logo jaune orange, ça donne déjà quelques indice.
En prime, le nom du groupe avec son tréma sur le “o”, ça en dit encore plus.
Et oui, old school et vénéneux, avec des influences à chercher dans les premiers Sodom, Destruction, Venom, Bulldözer et évidemment Motörhead.
Comme quoi, en Australie, il n’y a pas qu’AC/DC ou Airbourne.
C’est aussi le pays de Bestial Warlust, Deströyer 666 ou Sadistik Exekution.
Irönwitch, eux, nous donnent une idée de ce qu’est la combinaison de cette scène extrême australienne combinée avec la noirceur des premiers Sodom et de la scène black metal scandinave.
On situe mieux ?