Line-up sur cet Album
- Niclas Engelin – Guitares
- Mikael Stanne – Chant
- Peter Iwers – Basse
- Daniel Svensson – Batterie
- Jesper Strömblad – Guitares
- Guests : Örjan Örnkloo – Claviers / Johannes Bergion – Violoncelle sur 7, 9 et 12 / Erika Almström – Violon sur 7, 9 et 12 / Julia Norman – Chant additionnel sur 7 et 12
Style:
Death Metal MélodiqueDate de sortie:
10 janvier 2025Label:
Nuclear BlastNote du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Honte sur moi ! Pourquoi ? Eh bien en écoutant « March of the Unheard », le nouvel album (deuxième du nom) du groupe suédois The Halo Effect, je me suis dit : « Punaise ! Ça sonne pas mal comme In Flames ! ». Il faut dire que ce sont eux qui, à l’époque, m’avaient fait connaître le death melo et ses riffs magiques, même si j’ai souvent regretté la direction qu’avait pris le groupe ensuite. En fouillant la bio de The Halo Effect, je me suis rendu compte qu’il était composé d’un tas de musiciens ayant participé à l’aventure In Flames, notamment quand le guitariste Niclas Engelin a demandé au chanteur Mikael Stanne (Dark Tranquillity) s’il avait envie qu’ils fassent de la musique ensemble.
En plus, on y trouve un certain Jesper Strömblad. Je l’ignorais… La honte ! Alors, c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai découvert cet album made in Göteborg. Bien-sûr, les « fâcheux » ne manqueront pas d’affirmer que c’est du déjà-vu, que ça manque d’inspiration, etc, etc. Mais, pour ma part, j’ai adoré me replonger dans cet univers où l’énergie côtoie ces mélodies portées par des riffs épiques, gentiment mélancoliques (“Conspire to Deceive”, “Forever Astray”, “The Burning Point”).
Entre tempos teintés d’une couleur thrashy (“A Death That Become Us”), rapidité (“The Burning Point”), atmosphère un peu orientale (“Between Directions”), ambiance lourde et « dangereuse » rehaussée par des refrains lumineux (“What We Become”), instrumental acoustique et sympho (“Coda”), j’ai passé un bon moment.
Les gars y vont simplement, sans en faire des tonnes genre « m’as-tu vu », en jouant simplement ce qu’ils savent faire de mieux, à savoir un melo-death reconnaissable entre tous et qui m’a personnellement tiré quelques frissons. Comme dit précédemment, ces riffs sont, en ce qui me concerne, magiques et particuliers.
Cela dit, rien d’original, rien qui vaille qu’on se pâme. Mais si, comme moi, vous avez été fan d’un certain In Flames, vous plongerez avec un certain plaisir dans cet album, qui est soit une histoire de tiroir-caisse, soit une réunion de « potes » mais qui rallume la nostalgie d’une époque enfuie.
Tracklist :
- Conspire to Deceive (3:57)
- Detonate (3:58)
- Our Channel to the Darkness (3:28)
- Cruel Perception (4:04)
- What We Become (3:46)
- This Curse of Silence (Instrumental) (2:00)
- March of the Unheard (2:59)
- Forever Astray (3:40)
- Between Directions (4:28)
- A Death That Becomes Us (4:06)
- The Burning Point (3:47)
- Coda (Instrumental) (3:53)
Amazon Music Apple Music Bandcamp Deezer Facebook Site officiel
Instagram Spotify Tidal Trebel Twitter YouTube
Chronique “Days of the lost”
Laissez un commentaire