Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

La vie de l’équipe d’un webzine peut apporter beaucoup de surprises.
Outre le fait de recevoir une quantité industrielle d’albums, parfois qu’on regrette d’écouter, souvent qu’on a le plaisir de chroniquer, on a aussi beaucoup de dialogues souvent croustillants, mais régulièrement pour l’évolution du média (excusez-moi dix secondes)
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… donc pour l’évolution du média ou pour dispatcher les chroniques à faire, des interviews à prévoir ou des accréditations à donner… enfin ça, c’est quand il y a des concerts !

Et pour pouvoir mettre tout ça en place (excusez-moi dix secondes)
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Donc pour pouvoir mettre tout ça en place, on a plusieurs moyens : nos téléphones (parfois), un forum (régulièrement) et un groupe sur les réseaux sociaux (en permanence).
Et autant dire que ce dernier fonctionne à plein régime (excusez-moi dix secondes).
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Une fois les albums dispatchés à la team, la gestion des labels effectuée, la mise en ligne de quelques articles, je m’accorde le droit de chroniquer les albums qui (excusez-moi dix secondes)…
Voilà, de chroniquer les albums qui m’ont le plus plu dans les quelques 150 qu’on nous envoie sur le Gmail du webzine mensuellement !

C’est ainsi que ce nouvel album de Wig Wam (excusez-moi dix secondes)
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Oui, donc, avant qu’on nous dérange, ce « Never say die » est arrivé chez Frontiers Music, le premier depuis 2012 quand le groupe a splitté !
Toujours est-il que ce retour (excusez-moi dix secondes)
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Désolé, toujours est-il que ce retour est des plus plaisants tant Wig Wam revient plus fort que jamais : déjà que les albums précédents, à savoir « 667… the neighbour of the beast » (2004), le divin « Hard to be a rock ‘n’ roller » (2005), « Wig wamania » (2006), « Non stop rock ‘n’ roll » (2010) et « Wall street » (2012) n’ont souffert d’aucune faiblesse, mais ce bien nommé « Never say die » nous les présente dans une forme retrouvée avec un album qui semble être le plus ambitieux que le combo a sorti !

Parce que Wig Wam est toujours capable de nous composer des titres à haute teneur en vitamines par le biais d’un hard rock bien nerveux, aux refrains imparables et addictifs (« Never say die », « Hypnotized », l’énorme « Kilimanjaro », « Shadows of eternity », « Where does it hurt », « Dirty little secrets », « Call of the wild », « Hard love ») au milieu desquels la traditionnelle et magnifique ballade (« My kaleidoscope ark », le final en pure beauté « Silver lining ») ou un instrumental tout en énergie latente (« Northbound », sur laquelle les guitaristes font état de tous leurs talents) : ces artistes prouvent à quel point Wig Wam n’a de leçons de rock à prendre de personne !

Bref, c’est pour se prendre des moments de pur bonheur comme l’écoute d’un album tel que celui là (excusez-moi dix secondes)
(…)
… donc, disais-je, pour écouter des albums tels que celui-là que c’est un pur plaisir de faire partie d’un webzine comme Soil Chronicles, et ce, même si toutes les trente secondes, notre Ascirias nous oblige à couper la musique parce qu’il envoie message vocal sur message vocal sur la discussion de la team au lieu de faire comme tout le monde et de les écrire, nous obligeant à couper la musique pour pouvoir les écouter, et interrompre la rédaction de la chronique par voie de conséquence !

Non mais je vous jure !

Tracklist :

01. The Second Crusade (Instrumental) (0:54)
02. Never Say Die (4:02)
03. Hypnotized (3:57)
04. Shadows Of Eternity (3:35)
05. Kilimanjaro (3:54)
06. Where Does It Hurt (4:16)
07. My Kaleidoscope Ark (4:34)
08. Dirty Little Secrets (3:51)
09. Call Of The Wild (4:44)
10. Northbound (3:54)
11. Hard Love (3:35)
12. Silver Lining (6:16)

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