Line-up sur cet Album
• Matt Polley : Chant • Zak Muller : Guitare lead • Andre Ruffell : Guitare, Backing vocals • Dylan Smith : Basse • Luke Wilson : Batterie
Style:
MetalDate de sortie:
25 Mars 2016Label:
AutoproductionNote du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10
Et si, pour continuer dans les chroniques de l’été, on parlait maintenant du tube de l’été ?! Je ne parle bien entendu pas de celui de vaseline ou de crème solaire, mais restons dans la musique et ne me faites pas m’éloigner du sujet si vous ne voulez pas que je me disperse, alors que je suis français…
Bah oui, c’est comme ça quand tu reçois un CD single : pour occuper la page blanche, tu gamberges, voire tu diverges (et plus souvent, tu dis « bite », mais nous sommes entre gens bien éduqués et qui savent se tenir par écrit en bonne société). Comment évoquer la musique d’un groupe par un simple CD 2 titres – trois en fait, mais c’était pour replacer une référence de « vieux » [smiley clin d’œil] –, en l’occurrence les anglais de Wild Lies.
Tiens, au passage, vous connaissez la différence entre un 51 et un 69 ? Le 51, t’as le nez dans l’anis et le 69… Bref, ceux qui ont répondu « Le gout ! » gagnent aussi une bouée gonflable en forme de licorne, ainsi qu’une place de choix au premier rang pour l’élection de Miss Camping 2016 !
Pour en revenir au sujet qui nous intéresse – nan passque faudrait quand même bosser un peu, hein – enfin si ça vous intéresse, en tous cas, moi ça m’intéresse, « The Animal » n’est pas vraiment le genre de tube de l’été qui va faire danser les nanas sur la plage ou en boite, même si ça pourrait être du gentil « Metal à minettes » qui les fera éventuellement headbanguer et faire des « whooo oh » en concert – du moins les plus émo d’entre elles – joué par cinq BG avec des prénoms de BG qui font du Metal teinté Metalcore BG (des similitudes avec Trivium – ils ont le même producteur, y a pas de hasard, c’est donc très bien produit –, BFMV et A7X – Bullet for my Valentine et Avenged Sevenfold, pour ceux pas assez djeun’s BG pour comprendre) et qui ont tellement le vent en poupe qu’ils reviennent et de Donington – géographiquement logique – et du Sonisphere italien. Est-ce que c’est mérité ? Boarf, on va dire oui, parce que c’est sympa musicalement, assez mainstream pour être vendable et vendu – voire survendu : leur CM est balaise, leur directeur de com’ également !
Un format radio edit, donc… Un tube quoi, catchy, avec un refrain qui est censé entraîner – ce qui est vrai mais je le trouve d’un banal assez… banal – du gros son, des paroles pleines de… de… bonnes intentions, on va dire… gentil et mignon tout plein, quoi. « Shapeshifter » sonne déjà plus original, moins dans des carcans tubesques, sans rien réinventer pour autant. Idem pour « Can’t carry on ». Sympathique le temps d’un été…
Après, si ça marche, pourquoi se priver ? On a bien dit la même chose des groupes de référence cités ci-dessus et ils ont fait de très bons albums… Des mauvais aussi, mais là n’est pas la question… Mais dans le cas présent, c’est pas avec juste trois morceaux que je peux vraiment me faire un avis, sauf si ces trois morceaux avaient été géniaux et renouvelaient le courant, mais ça, seul EDF sait le faire… Non, cherchez pas, c’est pas un nom de groupe, ou peut-être seulement électrogène.
A écouter en dansant la Lambada, la Soca, la Macarena, le Chihuahua ou tout autre tube de l’été en A – non, le Viagra n’est pas vendu en tube !
Tracklist:
1. The Animal (3:13)
2. Shapeshifter (4:17)
3. Can’t carry on (4:15)
Facebook: https://www.facebook.com/WildLiesBand/
Site officiel: http://thewildlies.com/
Soundcloud: https://soundcloud.com/wildlies
Youtube: https://www.youtube.com/user/TheWildLies
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