(NdMetalfreak) J’avais prévu de couvrir ce concert – que je tenais pourtant à ne pas louper – pendant qu’Antirouille faisait de même pour celui de Grenoble avec Leng Tch’e en tête d’affiche mais un impératif familial a remis le tout en question. Je ne remercierai jamais assez mon ami Chris Besse d’avoir bien voulu me remplacer pour le concert de Messa pendant que je prenais celui de Grenoble à la place de Francis.

Photos et report : Chris Besse

Un vendredi soir entre amis…
Gros dossier pour cette superbe soirée passée avec le groupe Italien de doom occulte / drone Messa, un coup de cœur du Brin de Zinc.
Album que je partage pour mon ami Chris « Metalfreak », le Boss de Soil Chronicles en manque de photographes !!!!! (rires)
Tout d’abord le son : Le Doom Metal , dans les années 70, c’est Black Sabbath, avec « Electric Funeral » et « Into the Void », qui lance ce style (ref : Wikipédia), c’est très prenant et planant.

Messa, c’est Mystir (batterie), Alberto Piccolo (guitares), Marco Zanin (basse) et Sara au chant.

Le Brin de Zinc est bondé, et niveau photos, nous sommes trois à sévir : mes deux amis Pauline LaCasemate et Reynald Reyland.
Messa, c’est un vrai plaisir de les photographier : Sara est magnifique, Alberto avec sa guitare est très loin de la scène, parti sur son petit nuage musical, les yeux toujours clos…
Les trois musiciens sont vraiment dans leur monde, accompagnés par les mélodies et la voix de Sara.

Le reste en images, galerie en fin d’article…

« Joué en live en intégralité sur la Main Stage du Roadburn Festival 2022 lors d’un set décrit comme l’un des grands moments du festival, « Close », le troisième album de Messa vient de sortir sur Svart Records.
Décrite comme « Stevie Nicks menant Black Sabbath » la voix colossale de Sara, la chanteuse, emporte l’auditeur dans des montagnes russes émotionnelles où le chaudron sonore des riffs Sabbathiens laisse la place à de délicieuses interludes de Oudh puis à des solis virtuoses, le tout dans un clash stylistique mené à la perfection par un groupe au sommet de son art.
Citant des groupes comme Dead Can Dance, Swans ou Om, Messa a créé un album où les atmosphères et expériences des morceaux sont concentrées dans un modus cristallin dans lequel le grand art embrasse la nostalgie des riffs doom à l’ancienne. Transcendant la vibe occulte et noire de leurs précédents albums, « Close » tisse avec confiance les influences multiples de Messa en un son à couper le souffle qui laissera sans aucun doute l’auditeur captivé. Atteignant la perfection ou presque,
« Close » n’est pas juste un album de Metal, c’est la meilleure chose qui soit arrivée au genre depuis très longtemps. » (Brin de Zinc)