Ouverture des portes 20H30. Pas grand’monde…

Radio Maquis ouvre le bal. Fort trop fort !!! Du coup, nous avons plein de monde à notre stand (de prévention santé) pour avoir des bouchons d’oreille. Nous n’avons pas le temps d’aller voir ce qui se passe dans la salle donc pas d’avis sur Radio Maquis….une prochaine fois peut-être.
L’alarme incendie se déclenche pendant le changement de plateau. C’est pas de chance ! Pourvu que la suite arrive quand même. Y a Punish et Lofo, ce serait dommage de rater ça.

Ouf, ça s’arrête enfin et Punish occupe les lieux…avec 2 toiles tendues de chaque côté de la scène et 3 graffeurs pour les remplir !!! Comme à chaque fois, les Punish hantent la scène avec leur univers bien à eux. Peinture fluo, danseuse qui se meule le ventre (heureusement protégé!!!) et qui jette de la mousse aux premiers rangs. Pas de rappel…Merci l’alarme incendie !!! Du coup, c’est un peu court. Mais heureusement, Lofo arrive juste après.

Reuno arrive en poussant des cris de singe et commence alors 1H30 de pur bonheur!!!
Comme à chaque concert, Reuno parle entre deux chansons. C’est une tradition chez les Lofo bien qu’ils se soient un peu calmés !!! Il explique l’intérêt du rappel : »les artistes ont besoin de reconnaissance! » Le public est sollicité pour voter : « le rappel on le fait normal ou alors maintenant? » La réponse est unanime : MAINTENANT. Et c’est déjà l’heure du désormais classique Buvez du cul ! Reuno annonce la présence des « copines de O’Stand » et nous montons sur scène pour jeter des capotes au public.
Problèmes techniques, Phil casse une corde de sa basse et Pierre ose même éclater se grosse caisse !
Changement de basse et attendant le remplacement de la grosse caisse (les Punish prêtent la leur, trop sympa ces Punish !!!), le trio privé de batterie se lance dans une impro. Un petit moment à part et unique…
Batterie opérationnelle et c’est reparti avec Justice pour tous et de nouveau Buvez du cul (en entier cette fois). Bien sûr, nous ne résistons pas à l’appel de la scène et retournons jeter des capotes…

Tout le monde semble ravi de sa soirée et ceux qui était trop loin de la scène passent chez O’Stand chercher des capotes pour bien finir la soirée. Si vous avez loupé ça, rassurez-vous les Lofo ont encore quelques dates d’ici fin 2008 et avec un peu de chance O’Stand sera là.