Ricky Warwick (Chambéry, le Brin de Zinc, 16 octobre 2023) ...
Photos + report : Metalfreak
Attention : ceci est le récit d’un grand fan d’un artiste hors normes depuis plus de trente ans !
Alors qu’il a commencé sa carrière en live avec les formidables New Model Army, c’est avec The Almighty que j’avais découvert Ricky Warwick, lorsqu’est sorti le deuxième album « Soul destruction » en 1991. Un album que j’écoute encore régulièrement plus de trente ans après sa sortie, « Crucify » et « Little lost sometimes » en tête !
Alors quand il passe au Brin de Zinc, c’est l’occasion enfin d’approcher ce guitariste / chanteur pour la deuxième fois, la première étant au Hellfest 2017 quand il était venu avec Black Star Riders.
C’est vrai que je n’ai pas tari d’éloges au niveau de mes chroniques, que ce soit pour un de ses albums solo (« When Life was Hard & Fast« ) ou avec Black Star Riders (« The killer instinct« , « Heavy fire » et « Another state of grace« ) mais une chose est sure, ce n’est pas avec un show pareil, tout seul sur scène avec juste une guitare acoustique, que je vais changer d’avis. Déjà, le gaillard, 58 ans au compteur, n’a jamais été aussi affuté.
Et c’est avec son chant si caractéristique, un rien rocailleux, qu’il nous gratifie de plus de deux heures de chansons reprises quasiment toutes en chœur par un public aussi attentif que séduit. La setlist était évidemment axée sur des titres de son album solo mais aussi de Black Star Rider et de The Almighty. Et en prime, quelques reprises bien senties et totalement réappropriées comme « Running free » (Iron Maiden), « Ace of spades » (Motörhead) ou « Jailbreak » (Thin Lizzy). Plus d’une vingtaine de titres, avec un rappel en prime pour un show aussi généreux que peut l’être l’artiste. Plus de deux heures de pur bonheur…
Et, fin du fin, c’est en toute humilité, la marque des plus grands, que Ricky Warwick me remercie d’avoir pris des photos et aimé son show. Non mon gars, c’est moi qui te remercie, pour tout le plaisir que tu me donnes à t’écouter depuis trois décennies. Oui, merci, vraiment !
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