Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
VI est un trio parisien formé en 2007 qui a sorti un EP « De Praestgiis Daemonum » l’année suivante, puis un split avec Aosoth (« Angels falling down ») en 2010.
Articulé autour de BST à la basse (Aosoth, Genital Grinder, The Order of Apollyon, ex-Balrog, ex-Aborted, ex-Garwall, ex-Maleficentia), Blastum à la batterie (Ingens, Merrimack, Purge, Ritualization, ex-Chaos, ex-Aosoth) et de INRVI au chant et aux guitares (Aosoth, ex-Deus Despectum), ils sortent cet automne leur premier album « De Praestgiis Angelorum » de sept (longs) titres plus une intro pour trois gros quart d’heure d’un black metal dévastateur pendant lesquels on ne s’ennuie pas un instant.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Je ne suis pas vraiment un fin connaisseur de la carrière des Italiens mais, ce dont je suis sûr, c’est que « Soulless Upheaval », l’ouverture de Hurt Yourself And The Ones You Love, ne sonne absolument pas comme le Black Métal suicidaire dont j’avais souvenir sur Songs To Leave ou Springtime Depression, deux disques excellents qui me servaient un peu de maître étalon.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Nous connaissons tous la légendaire consanguinité de la scène Métal où les musiciens se croisent et se décroisent dans les mêmes formations, fourmillent de projets annexes, de collaborations, de contributions exutoires, etc. Aussi, ne connaissant pas jusqu’à aujourd’hui Decline Of The I, je me penche rapidement sur les CV du quatuor. Avec un ancien membre (G.) de Drowning (excellente formation de Death Métal) et un type (A.K.) qui a vidé sa cartouchière chez Eros Necropsique, Malhkebre, Merrimack et Vorkreist, je me dis que cela sent très bon quant au potentiel agression des Parisiens. Et là, pas de déception, Rebellion colle vraiment le bracelet à clous dans la gueule dès la première écoute.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Même si j’avais énormément apprécié les albums précédents de Code, j’avoue que je ne m’attendais pas à être autant soufflé par la qualité exceptionnelle de Mut. Pour la faire brève, si Muse faisait de la bonne musique (Inland Sea ; Cocoon) et siAnathema n’avait pas viré sa cuti (Dialogue), ils arriveraient peut-être à écrire une musique qui serait moitié moins intéressante que ce que nous proposent aujourd’hui les Anglais. En effet, le Rock Progressif de Code, qui s’est définitivement affranchi de ses influences Métal, atteint désormais des sommets et seule la trop faible durée du disque m’empêche d’être plus généreux sur la note, c’est dire si des morceaux de ce niveau, j’en redemande.
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Note du Soilchroniqueur (Arno):7,5/10
N’étant que globalement peu amateur du revival Thrash actuel, le fait de savoir que Nocturnal Breed officie dans ce style depuis la fin des années 90 me rassure car je sais qu’au moins, il ne fait partie de cette mouvance. Avec Napalm Nights, dernier album en date, on a donc affaire à de l’ancien, le fameux truc des vieux pots dont on fait la bonne soupe pour peu que l’on accepte que la formation ait refusé toute once de modernisme depuis Venom ou les premiers Sodom.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Cela faisait six ans, si l’on met de côté quelques splits et une compilation, que Varathron n’avait pas sorti un nouvel album. Comme toujours pour des groupes décrits comme culte, l’attente est forte, les espoirs ambitieux.
Et sans même avoir écouté Untrodden Corridors Of Hades, je sais qu’il va être marquant : un logo de groupe classieux, une pochette bien dans le ton, un titre d’album qui sonne idéalement à l’oreille, je ne pense pas que la carrière des Grecs, dédiée à l’obscurité depuis 1989, soit ternie aujourd’hui.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Au sein de la scène Death Métal, Centinex fait pour ainsi dire partie des meubles puisque actif depuis 1991. Et si une telle longévité se respecte, des meubles, il y en a pourtant de toutes sortes : des fonctionnels, des high-tech, des encombrants, des branlants, etc.
J’aurais plutôt tendance à classer la formation suédoise dans la première catégorie…
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10
Parfois, pour se faire une idée de l’évolution d’un groupe, il suffit de regarder les labels qui ont sorti leurs albums. Concernant Origin, le parcours a tout du sans faute : début de carrière (quatre albums) chez le on ne peut plus respecté Relapse, transfert vers la grosse écurie Nuclear Blast pour seulement un disque puis là Agonia réussit un sacré coup de maître en signant THE formation Brutal Death Métal Technique pour ce Omnipresent terrassant.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Un trio Suédois avec deux membres de Tribulation, un album enregistré, mixé et masterisé par Jonas Wikstrand (Enforcer) au Necromorbus Studio (Watain, Portrait, Deströyer 666),
Pas de doute, on nage en plein dans le old school : avec son deuxième album full length « Venture », Stench propose sept titres de death metal épique à l’atmosphère très old school.
Pour le coup, les amateurs d’Autopsy, Repugnant, évidemment Tribulation, Necrophagia ou autre Master’s Hammer vont rejoindre les fans de black metal.
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On retrouve des membres d’ailleurs de DHG (Dodheimsgard), Pantheon I et 1349 ! Prometteur tout ça ?! Lire l'article