Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Je trouvais le nom du groupe vraiment craignos mais, attiré par le logo illisible et la pochette à l’ancienne, j’ai succombé à Manor of infinite Forms, deuxième album des Canadiens de Tomb Mold.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Récapitulons : un groupe belge qui arrive à faire sonner du Death Metal old school à la Suédoise comme celle de l’école US. En voilà un programme ! Que ce soit le logo, l’artwork, et l’attaque des riffs sous accordés, on nage dans les eaux des premiers Entombed, Dismember, Unleashed, Grave… avec un chant proche des Cannibal Corpse, Jungle Rot ou autre Suffocation. Quant au niveau technique, rien à redire ! Tempo principalement rapide, batteur multibras, chant guttural et possédé, on a la totale : un vrai retour de 25-30 ans en arrière.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
– Accusé, levez-vous !
– Toujours pas, votre Honneur !
– Décidément, Monsieur Metalfreak, rien ne vous arrête : on vous a déjà condamné il y a deux ans lorsque vous aviez chroniqué l’album de Warfather
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Dans le milieu du Death Métal, ce n’est plus la peine de présenter Jungle Rot : le groupe balance du gros riff depuis 1997 et Slaughter the Weak, Jungle Rot étant donc le neuvième obus, orné d’une des plus belles pochettes de l’année.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8.5/10.
Joli parcours que celui des Milanais de Grind Zero ! Ouvrir pour Entombed en 2012 au bout d’un an de formation et avant même d’avoir publié quoique ce soit, c’est plutôt pas mal ! Leur démo Forceful Displacement verra le jour un an plus tard suivi de leur premier album Mass Distraction en 2014.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10.
Everlasting Spew Records… A la seule évocation du nom de ce label italien, les queues se mettent à frétiller à s’en faire des bleus sur les cuisses car il est synonyme de gros sons appréciés par tout bon death metalleux qui se respecte. Et c’est chez eux, dans le riche vivier italien de groupes de Death Metal, que le label est allé étancher sa soif de gros son en mettant sur le devant de la scène Valgrind.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Contrairement à l’intitulé de l’album, celui-ci n’est clairement pas une musique de méditation… Enfin, tout dépend de ce qu’on entend par méditation : y en a qui méditent en silence sans bouger et d’autres avec du Death Metal tout en faisant des mouvements amples de cervicales au rythme effréné de la musique, ça vide plus efficacement l’esprit (pour avoir essayé la méditation bouddhiste et Metal, j’ai vite fait mon choix).
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10.
Le choix est rude quand on désire se balancer un album de Death Metal dans les oreilles. Voire même très compliqué tant la quête d’innovation pour se démarquer est grande. Jouant sur plusieurs registres, avec plus ou moins de réussite, on se retrouve avec une pléthore de genres et donc d’étiquettes plus farfelues les unes que les autres dont chacun revendique l’exclusivité.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Comme je n’avais pas été particulièrement tendre en 2013 avec le premier volet Okkult (2013), je ne m’attendais pas avec cette suite à sauter au plafond. D’ailleurs, cela fait longtemps que je n’attends rien de particulier d’Atrocity : pour moi ils ont tout dit dans la première moitié des années 90, c’est peut-être dommage mais il en est ainsi.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Logo illisible, pochette dégueulasse, le deuxième album des Espagnols de Nasty Surgeons est bel et bien du Death Métal. De toute façon, compte tenu du contenu de Exhumation Requiem, on imaginait difficilement le quatuor renier ses influences carcassiennes et se mettre à jouer des castagnettes.