Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Avec le recul, j’avais été un peu dur avec les albums d’Adramelech, Psychostasia et Terror of Thousand Faces. Car même si le Death Métal pratiqué est basique, il reflète parfaitement l’état d’esprit des années 90 où l’ambiance dégagée primait sur la vélocité et la démonstration technique.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10.
Qu’a popularisé Ulf « Uffe » Cederlund et qui a fait ce son si représentatif d’Entombed sur l’album Left Hand Path ?
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Alors que les Américains de Skinned sont actifs depuis 1996, je ne les ai découverts qu’en 2015, un pote m’ayant acheté Create Malevolence (2015), quatrième album du groupe, au concert parisien que j’avais hélas manqué.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10 .
La scène polonaise regorge de groupe de Death Metal et c’est de ce riche vivier que nous vient Kingdom. Quinze ans qu’ils arpentent des routes pandémoniaques en semant au passage 1 EP et 3 albums, dont le dernier, Sepulchral Psalms from the Abyss of Torment, avait de forts accents blackeux. Ils nous reviennent aujourd’hui avec Putrescent Remains of the dead Ground, signé par le label compatriote Godz ov War.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 5/10.
Vorus est un « groupe » roumain fondé par le texan Uriel. Celui-ci est également à la tête d’autres projets qu’il mène seul, jouant de tous les instruments. Solitaire aussi avec Vorus, il sort une démo en 2017 mais il fait cependant appel à sa compagne Corina pour enregistrer The wretched Path en lui confiant la basse.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Ghastly est un groupe originaire de Tampere en Finlande et a à son actif un EP, Serpentine Union, de 2013 et un album, Carrion of Time, de 2015. Death Velour est donc leur deuxième album, sorti sous le label 20 Buck Spin. Un label américain qui donne sa confiance à un groupe finlandais a le mérite d’éveiller un peu la curiosité malsaine qui dort en nous. Accordons donc une oreille attentive sur cet album des Ghastly.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10.
Code Red voit le jour en Roumanie en 2004 sous l’impulsion du chanteur et guitariste Andrei Calmuc. Ils sortent 2 ans plus tard un EP, Stronger than Lust, et le groupe se sépare ensuite en 2007. Ne baissant pas les bras, il retente en 2010 et après quelques mouvements de line up, le single « Native Monster », beaucoup plus brutal, est édité. Trois ans plus tard, en 2013, Dominions of our deceitful Beliefs, voit le jour.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Dix ans de carrière, ça se fête ! Quoi de mieux qu’un petit EP sans grande prétention autre que celle de revenir quelque peu aux sources de ce que faisait le groupe à leurs débuts ?
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Ce qu’il y a de bien chez certains labels, c’est qu’on sait d’entrée ce à quoi s’attendre quand reçoit un CD de chez eux dans la boite aux lettres. Bon, ok, ils ont la fâcheuse tendance à découper un coin de la pochette, ce qui peut faire froncer le sourcil du collectionneur, mais quand musicalement la qualité est au rendez-vous, on passe facilement outre de ce petit détail.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
J’ai écouté Pestilence pour la première fois avec Spheres (1993). Je veux dire que j’ai réellement acheté l’album lors de sa sortie. Et autant je trouve du charme aux disques précédents, genre un bon vieux Consuming Impulse (1989), autant tout ce qui est sorti après m’a laissé froid.