Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 7,5/10 

Après une première démo en 2014, un EP en 2015 et une nouvelle démo l’année suivante, les Finlandais de Galvanizer sortent un album, Sanguine Vigil, sous le label italien Everlasting Spew Records.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
L’Italie nous dévoile encore une pépite de métal bien puante et comme toujours, on ne l’a pas vue venir. L’Italie non plus d’ailleurs car dans ce pays puritain, on évite de se mettre sous la lumière des projecteurs.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Vader, putain… ça me renvoie tellement loin dans le temps. 1992, The ultimate Incantation, l’album qui a fondé la légende. Bon, j’avoue qu’entre temps, je n’ai pas vraiment suivi la carrière des Polonais.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10 

Groupe formé en 2011 et déjà fort, avant cet Unleash the Storm, de deux EPs (Monarch to the Kingdom of the Dead en 2012 et Summon the Dead deux ans plus tard), d’un excellent album Into the Abyss (2015), de pas moins de six splits (avec Nocturnal Vomit, Morbider, Slaktgrav, Blessed By Perversion, Slaughterday, Slaughtered Priest, Death Courier et DreamLongDead) et d’une compilation (Once entombed… en 2016), les revoilà nous offrir un EP cinq titres, dont trois reprises, limité à 500 copies.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,99/10.
Je ne le répèterai jamais assez mais s’il y a des voix qui représentent à elles seules le Death Metal, ce sont bien celles, entre autres, des John Tardy, Martin Van Drunnen ou surtout Karl Willetts. L’ancien hurleur de Bolt Thrower semble s’éclater avec Memoriam et, un an presque jour pour jour après un monstrueux For the Fallen déjà chroniqué en nos pages arrive son successeur qui, s’il joue la continuité par rapport au précédent, donne une nouvelle fois une véritable leçon de Death Metal.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Ah ben quand même ! Je m’en rappelle très bien, de leur précédent méfait : il est sorti pile poil le jour de mes 45 ans ! Un EP de quatre titres pour moins de vingt minutes de Death Metal old school que j’espérais comme “annonciateur d’un prochain album à venir, carrément prometteur et (qui) risque bien de propulser définitivement Demonical au Panthéon des groupes de Death Metal !”.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10.
Comme j’ai vu passer pas mal de publicités autour du dernier album de Revolting, Monolith of Madness donc, j’ai fini par succomber à la tentation de l’écouter. Comprenez-moi : on me vend du Death Métal et Lovecraft (« Ode to Hastur »), comment pouvais-je résister ?

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Note du rédacteur : cette chronique ayant déjà été publiée avant la réédition pour parler du disque original (Sortie originale : 09/10/1993, Label original : Century Media Records), je n’y ai apporté aucune modification. Bonne écoute à tous.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Cela fait un moment que le nom de Savage Annihilation jouit d’une belle renommée dans le milieu Death Métal hexagonal, au moins depuis leur premier album Cannibalisme, hérésie et autres sauvageries (2012) sorti chez Kaotoxin Records. Quand s’abaisse la croix du blasphème a fait pas mal de bruit dans la presse, reste à comprendre pourquoi.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Blood and Brutality est fondé en 2008 en Alabama par Bryan Arant. Depuis, ce sont 4 albums, 2 EP et une compilation qu’a composé le groupe. Cette année sort un nouveau EP 5 titres, Decor macabre, entièrement composé et interprété par Arant himself et en une seule session.