Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
L’empire n’est pas celui qui contre-attaque mais le nouvel et onzième album de Vader !
Avant de lire cette chronique, qui n’est rien d’autre qu’un complément de ma chronique de leur EP « Iron Time » sorti en septembre dernier, commencez d’abord par la lire (ça m’évitera le copier-coller) : http://www.soilchronicles.fr/chroniques/vader-iron-times
Moi qui l’attendais avec impatience, cet album, je n’ai pas été déçue mais pas émerveillée non plus.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Et moi qui étais passé à côté de la grosse fessée Death Métal de cet été ! Ah ça, pour boire des bières en terrasse tout en se demandant comment perdre son bide en quelques semaines pour préparer au mieux les vacances à la mer, y avait du monde. Mais question suivi de l’actualité, zéro pointé le mec ! Alors que, bordel à cul, ce « Union of Flesh and Machine », il va direct dans le top 2016 tant il pulse, cartonne, dégomme ! Je ne sais même pas par quel bout le prendre pour dire tout le bien que j’en pense.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Avec « The Grand Grimoire », « Bloody Blasphemy » et « Ravenous », les Hollandais avaient sorti une belle trilogie entre 1997 et 2001, pratiquant un Death Métal plutôt sombre qui faisait clairement d’eux un groupe qui compte, ou tout du moins qui comptait. En effet, sans avoir vraiment suivi la carrière de la formation, j’ai quand même le sentiment que le creux de la vague ne les a pas épargnés durant les années 2000.
Pourtant, à l’écoute du dernier en date « Under the Sign of the Iron Cross » (2010), je me dis que les mecs ont encore de belles choses à dire. Bon, moi, tout le délire autour des Guerres Mondiales, la Première comme la Seconde, j’en ai soupé. Quelles que soient les raisons qui font que les musiciens sont fascinés par cette période (les uniformes allemands sont beaux, c’est la plus grand boucherie de l’Histoire, « Hitler était un génie » (je me contente de citer Patrick Timsit, merci de ne pas m’adresser de lettres d’insultes), etc.), il reste que le sujet est aussi usé qu’un drap de pauvre.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Aussi difficile que ce soit à croire, fut un temps où Gorefest était au sommet de la chaîne alimentaire du Death Métal européen, avec des albums tels que « Mindloss » (1991) ou « Erase » (1994) mais surtout « False » (1992) qui a fait des Hollandais une des plus épaisses machine à riffer du continent.
Certes, ce succès n’a pas duré longtemps et la misère des albums suivants acheva d’enfoncer le groupe mais il reste néanmoins une trilogie que tout amateur de chant guttural se doit de découvrir.
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Attention : ceci n’est pas une chronique, c’est plus que ça : c’est une déclaration d’amour !
Seule et perdue dans une frustration infinie – une frustration ou une folle envie d’une nouvelle aventure -, du bon death mélo me ferait amplement plaisir. Je cherchais la perfection, car le bon ou très bon, ce n’est pas ça qui manque. Dans ma quête du Graal du death mélo, je suis tombée sur des groupes qui me procurent un plaisir éphémère, une fois, trois fois et plus rien après… Mais je chercherai un plaisir perpétuel, dont on ne s’en lasse pas… Ça faisait trop longtemps ; je ne me souviens même plus de ma dernière fois, peut-être l’avant dernier Insomnium qui remonte à 2013 ou Xerath…
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Alors c’est l’histoire d’un Belge et d’un Américain qui forment un groupe de Death Metal et y en a un qui dit à l’autre « moi je vais faire tous les instruments et toi tu vas chanter » et l’autre il répond qu’il est ok et qué sapelorio Macabra.
J’avais déjà beaucoup aimé « Blood-nurtured Nature » (2012) dans son registre à la fois extrêmement basique mais surtout hautement horrifique, tout en m’imaginant je ne sais trop pourquoi que je n’entendrai plus jamais parler de ce duo.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Même s’il est encore un peu tôt pour commencer à parler des albums de l’année, j’affirme ici qu’indépendamment de tout ce qui est déjà sorti et de tout ce qui est à venir, Skuggsjá a écrit, avec « A Piece For Mind & Mirror », le plus bel album de Folk Métal qui soit mais également la plus belle musique de ces dernières années.
Je vous entends venir, chacun va y aller de ses références, de ses incontournables, peccadilles que tout cela. Einar Selvik (Wardurna entre autres) et Ivar Bjørnson (Enslaved) sont parvenus à extraire de leurs entrailles nordiques la quintessence du style, une commande pour les deux cents ans de la constitution norvégienne. Je n’ose imaginer à qui l’on confierait cette tâche en France… Et je crains encore plus ce qu’il en résulterait.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
À la première écoute, vierge de toutes connaissances du groupe, j’ai pensé à une blague. Le Death Métal de Defiled me semblait tellement approximatif, amateur dans sa démarche, avec ses riffs rapides que t’as l’impression que les guitaristes vont exploser en vol, ce son de batterie très en avant et le rire démoniaque en fin de « Subversion ». Mais non, d’abord les Japonais n’en sont pas à leur coup d’essai puisque « Towards Inevitable Ruin » est leur cinquième album. Le style pratiqué n’est donc pas une erreur de jeunesse, ensuite ils sont signés chez Season of Mist, il doit bien y avoir une raison.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
En près de quinze ans de carrière, ce « Creaturegore » est le seul et unique album de Fondlecorpse. Ce n’est pas que le trio hollandais n’a sorti que ça, sa discographie étant riche d’EPs, de splits et autres compilations mais voilà, faute de temps, d’envie de moyen, allez savoir, il n’y a qu’un LP.
Au-delà de l’aspect « épiphénomène » au sein de la carrière du groupe, force est d’admettre que ce disque cache parfaitement son jeu : la pochette est atroce, les mecs adorent les séries Z (de ce point de vue, le packaging est raccord), je m’attendais donc à une espèce de Death Métal sanguinolent pas forcément très futé. Cruelle erreur.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):7/10
L’algorithme est un ensemble d’opération permettant de résoudre un problème.
Le problème est donc la destruction, ou alors Red Dawn nous propose-t-il huit opérations pour arriver à la destruction?
Red Dawn est une formation rennaise de Death Metal officiant depuis 2013 et vient de sortir son premier album ‘Algorithm of Destruction’, et ce bien évidement avec le label Finisterian Dead End. Il faut quand même avouer qu’en Bretagne, les groupe de Metal Extrême sont assez nombreux, un style ayant le vent en poupe ; comment va donc faire Red Dawn pour sortir sa voile des flots ?
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