Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Doit-on penser qu’une formation qui débute en conquérant le trône, puis devient Roi des rois pour se proclamer enfin Monarque est orgueilleuse ? Prétentieuse ? Trop ambitieuse ? Que ses dents rayent le plancher ? Parfois oui. Beaucoup de groupes s’imaginent tout en haut de la pyramide, se voient bœuf quand ils ne sont que grenouilles, bref, font preuve d’un manque flagrant d’humilité et d’auto critique. Mais tout cela n’a jamais concerné Erik Rutan, son C.V. parle pour lui.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
De mémoire (qui peut être faillible), Demigod (le Finlandais) a sorti Slumber Of Sullen Eyes alors que ses musiciens avaient une moyenne d’âge de 14 ans. Mythe ou réalité, il reste que ces petits gars étaient sacrément jeunes pour envoyer un tel pavé. J’éviterai donc toutes les mauvaises blagues du type « pourquoi pas un gode entier ? » parce que de toute façon, leur Death Métal, ils vous le fourrent bien profond et il ne reste plus beaucoup de places pour autre chose dans votre cavité anale. Pour vomir, c’est au fond à gauche.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8.5/10
Aujourd’hui chers amis je vous exhume l’un des albums les plus étranges que je connaisse : Nespithe, unique album des Finlandais de Demilich. Il n’est pas étrange parce que sa musique est complexe ou que les musiciens utilisent des tonnes de gimmicks à la con. Ce phénomène n’est pas non plus causé par le mélange abusif de styles aussi hétérogènes qu’hétérodoxes : ça joue du Death Métal, point barre. Certes légèrement moins basique que ce qui se faisait en général à l’époque (le début des 90’s) mais c’est du sans fioritures.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Si Dead Congregation a aujourd’hui atteint une telle renommée, c’est définitivement grâce aux immenses qualités de leur Death Métal putride. Graves Of The Archangels, le premier album, est un monument de noirceur, certes très typé Old School et, à ce titre, pas révolutionnaire mais il est interprété avec une telle justesse, une telle maestria, qu’il ne peut que mettre l’une des plus grosses fessées de la décennie précédente.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Alors là !
Les amateurs de mystères entourant les groupes de Metal extrême vont être gâtés : impossible de trouver un début de bribe de commencement d’info sur le line up de cette entité Undead !
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Note du SoilChroniqueur (Arno): 8/10
On a quand même vécu une époque formidable dans les années 90. Il n’y avait pas une semaine sans que sorte un disque majeur de Death Métal, un truc appelé à devenir un Classique parmi les classiques. La France n’était d’ailleurs pas en reste avec ses Loudblast, Massacra, Mercyless, No Return, Agressor, Forlorn Emotion, M Pheral et bien sûr Crusher, les plus Punk Hardcore de la liste (j’en oublie plein tout aussi excellents).
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Note du Soilchroniqueur (Arno): 7/10
Sorte de groupe bouche trou lorsque les musiciens n’ont pas des occupations plus lucratives avec de plus grosses pointures, Council Of The Fallen vaut surtout le détour pour ceux qui apprécient le jeu surpuissant de Derek Roddy. En effet, « Revealing Damnation » n’apporte rien de neuf au Death Métal mais comme les membres qui le composent sont tous des bêtes dans leur domaine, on se retrouve quand même avec entre les oreilles douze grosses pièces d’artillerie, rapides, brutales et épiques.
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Note du Soilchroniqueur (Arno): 7.5/10
Le C.V. de B.S.T. est éloquent : Aosoth, Balrog, Genital Grinder, Aborted, Garwall, Malelicentia, il y a pire. Du coup, cela met déjà dans de très bonnes dispositions pour écouter le deuxième album de The Order Of Apollyon après un The Flesh remarqué en 2010.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Alors lui, il fait sa musique tout seul comme un grand depuis 2001 et là, pour le coup, il sort son deuxième album après « We are going to eat you !!! » (2002), un EP en 2004, un split avec 348? en 2006 et une compilation (?) en 2014.
Pour le reste, on ne sait pas grand-chose du dénommé Spectre sinon qu’il nous vient tout droit de Chine et qu’il officie désormais dans un Death Métal Old School à la croisée d’Autopsy et du Morbid Angel époque « Altars Of Madness », avec un rien de technique en moins.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6,5/10
Groupe hispano-suédois formé en 2013, Nangilima a déjà sorti la bagatelle de trois singles et voilà le premier album.
A l’instar de FamishGod, Nangilima évolue dans une sphère (Funeral) Doom / Death mélancolique au possible et d’une beauté forte, un peu dans la lignée des premiers Anathema, comme semble vouloir le montrer l’artwork, ou du tout premier Paradise Lost dans une version encore plus sombre.