Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10 

Originaire de Tallinn, en Estonie, Deceitome voit le jour en 2015 et sort l’année suivante un album, Death Is Called Ethos. Ce début août voit l’arrivée dans les bacs d’un EP, Flux of Ruins, signé par Redefining Darkness Records qui, comme à son habitude, n’a pas été effarouché pour produire cinq titres là où d’autres en demandent le double pour un contrat. A partir du moment où le groupe envoie du lourd, on ne compte pas les titres chez Redefining.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Dans la série “démerde toi avec ça”, je vous présente Putrid Coffin !
Si tu veux connaître le line-up, trouver accessoirement des liens Facebook ou autres, va falloir t’accrocher.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10 

Actif depuis 2006 et originaire de Shillong, capitale de Meghalaya, état du nord-est de l’Inde, Plague Throat sort un premier EP, An Exordium to Contagion, en 2013 suivi quatre ans plus tard d’un album, The Human Paradox, qui se voit signé par Transcending Obscurity India. Cette année, toujours chez Transcending, voit l’arrivée dans les bacs de leur deuxième EP, Evolutionary Impasse.

Deux groupes, deux avis… donc double chronique…

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10 

Formé en 2015 et originaire de Syracuse, ville américaine située dans l’État de New York, Ecliptic Vision sort l’année suivante un premier album, Dissimilar Dimensions, puis enchaîne avec Omphalos of the Void, un EP paru en 2017. Ce début juillet voit l’arrivée de leur second album, au titre homonyme, et toujours pas signé, ce qui n’a pas l’air de les préoccuper !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Venu tout droit du passé et de l’underground le plus obscur, Xtreem Music réédite les démos de Carnifex, groupe finlandais de Death Metal ayant officié au tout début des années 90.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Suite logique à The Van Murders sorti en 2011, The Van Murders – Part 2 voit donc revenir sur le devant de la scène l’incroyablement prolixe Rogga Johansson dans un format qui lui convient bien : le trio Death Metal, cette fois-ci sous l’appellation Ribspreader, déjà responsable de sept albums.

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10

Parmi les sorties du mois que j’attendais avec impatience se trouvait le nouvel album de Firespawn, et cette attente est récompensée d’une belle surprise. Je sais désormais que cet Abominate sera pour moi l’un des meilleurs albums de death metal de 2019 et le meilleur de toute la discographie de Firespawn.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

En matière de Death Metal, il n’est pas toujours possible de se prendre des baffes du niveau d’un Mass Infection sur Shadows Became Flesh (2018) par exemple, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut arrêter de rechercher de la nouveauté car l’excellence n’est peut-être pas loin. D’où l’écoute du premier album des Portugais de Nihility : Thus Spoke the Antichrist. Huit titres, moins de trente minutes de musique, on sent déjà que les gars ne sont pas là pour faire dans la dentelle et éterniser leurs histoires morbides, ça va droit à l’essentiel.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,999/10

24 mars 2017 : For the Fallen
23 mars 2018 : The Silent Vigil
21 juin 2019 : Requiem for Mankind
Je ne veux pas rouspéter ni froncer le sourcil, messieurs de Memoriam, mais pouvez-vous m’expliquer ce retard de trois mois dans la livraison de ce nouvel album ?
Non, parce que, quand on habitue les fans à une telle régularité et surtout à un tel niveau musical, il faut s’attendre à ce qu’on soit un tantinet exigeants !