Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10.
Une bonne dose de Hard Rock vous tente ? Voici un groupe anglais que l’on nous aurait fait écouter quelque temps avant, on aurait parié qu’il s’agissait du nouveau NickelBack… Mais voici que ce dernier décline, Stone Broken nous rappelle donc cette grande époque.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10.
Un peu de Rock pour se détendre, vous en pensez quoi ? Highly Suspect est un trio venant de la côte est des USA, une presqu’île où il fait bon vivre et l’air du large est très inspirant. Après un premier disque en 2015, Myster Asylum, qui voit la formation gagner un Grammy Award et permet de se faire connaitre très rapidement, le groupe décide de sortir très rapidement un nouvel opus The Boy who died Wolf distribué en France depuis février 2017.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Celui là, s’il vous tient, il ne vous lâchera plus ! Mayhem Inc. ou « comment se retrouver marqué musicalement en à peine plus d’une demi-heure rien qu’en s’écoutant dix titres de (Hard) Rock bien crade et ce, au point de s’enfiler l’album plusieurs fois d’affilée en y ressentant le même plaisir jouissif à chaque fois que l’album repasse dans le lecteur »…
Note du SoilChroniqueur (Me(ns)t(ru)alfreak) : 8,5/10
Alerte rouge, chutes du Niagara, les Anglais ont débarqué, les ragnagnas, pas la bonne semaine, la rivière rouge, être indisposée, éliminer ses toxines, prendre ses distances avec ses futures progénitures, saison des torpilles, avoir la mayonnaise qui stagne, mettre la souris dans le chat…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Il faut reconnaitre que ce n’est pas le cas de tous les groupes mais peu de groupes peuvent se vanter, en cinq ans d’ancienneté, d’avoir sorti trois albums et un EP, tous de qualité supérieure.
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10.
Rebellious Spirit ou le nom de groupe qui inspire tout de suite une prise de risque ! Boum ! D’entrée de jeu, on se dit qu’il y a probablement une connotation adolescente où domine l’esprit de rébellion ou alors la marginalité de l’individu face à la société.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Au gré des écoutes qu’on peut se faire tout au long de l’année, on se rend compte qu’on a parfois des lacunes et qu’on passe parfois à côté de formations pour le moins “kiffantes”, histoire de parler un peu le djeun’s. Formé en 2012, Dead City Ruins en est déjà à son troisième album après des remarqués Midnight Killer (2012) et Dead City Ruins (2013) sur lesquels je n’avais aucun recul avant l’écoute de ce Never say die.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 5/10.
Un live de Dokken avec la formation (quasi) originale ? Il y a de quoi exciter tous les anciens nostalgiques de la période faste entre Breaking the Chains (1983) et le premier live Beast from the East (1988), live pour le moins culte, à l’instar des quatre premiers albums studio du groupe, que ce soit Breaking the Chains (1983), Tooth and Nail (1984), Under Lock and Key (1985) et Back for the Attack (1987). Concrètement, toute la période d’avant un split dû aux éternelles divergences musicales qui a duré de 1989 à 1993, période pendant laquelle George Lynch et Mick Brown forment Lynch Mob.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
L’histoire d’Animal Drive est plutôt belle ! Formé en 2012 comme un projet solo du chanteur Dino Jelusić jusqu’en 2015, pour le nommer ensuite Dino Jelusić & M.U.D., puis Dino and the Mad Dog, pour enfin arriver en 2017 sous Animal Drive et sortir un premier album pour le moins prometteur.
La Croatie n’étant pas le pays le plus importateur de groupes de Hard Rock ou Heavy Metal de la planète, il est fort à parier que le groupe ne va pas tarder à se faire rapidement connaitre s’il sort d’autres albums de cette trempe à l’avenir.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Les revoilà, enfin ! En 2015, Shake electric avait fait partie de mes coups de cœur, impression confirmée lorsque j’ai eu le plaisir de les voir sur scène à Lyon dans la foulée. Toujours ancré dans un hard rock aux sonorités seventies, croisant Black Sabbath avec le Scorpions d’avant Black out et Motörhead, le quatuor suédois Spiders se la joue vintage tant dans sa musique que dans son look.