Note de la soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Nom d’un chien ! C’est l’histoire du Rock qui a flirté avec du Metalcore et ça a donné tout un tas d’enfants dont Wilson (non, ce n’est pas la marque de sport), ce jeune groupe de Detroit avec un gène dominant du Rock n’Roll que certains ont eu l’occasion de découvrir en ouverture de Halestorm en 2015, l’année même de la sortie de leur deuxième albumRight To Rise. Ô fans de Foo Fighters, Pop Evil, Black Stone Cherry, Seether, Nickelback, Sevendust, Theory of A Deadman, Alter Bridge, Nirvana et compagnie, cet album et ce groupe devraient vous séduire.
La présence de ce chien sauvage sur la pochette est tout simplement la symbolique même de la misère et la pauvreté de la ville natale du groupe (Detroit). Donc n’ayez pas peur, ce pauvre chien fait plus pitié qu’il ne mord !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Déjà quinze ans de carrière pour ce quintet de Chicago qui nous aura déjà offert la bagatelle de six albums, deux EP et un split (avec Bible Of The Devil en 2004), et voilà déjà le petit nouveau, « Eat me », à la veille du printemps.
Après quelques écoute, on peut déjà affirmer qu’il porte bien son nom : en effet, ce CD, on ne l’écoute pas, on le dévore jusqu’à plus faim… et même au-delà !
Après un « Sweet salvation » (2014) un rien plus en dedans que ce que le groupe nous avait déjà proposé comme les fabuleux « The last Vegas » (2008), « Bad decisions » (2012) ou surtout le phénoménal « Whatever gets you off » (2009), The Last Vegas se permet le luxe de nous balancer onze titres pour autant de hits potentiels.
Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Ce qu’il y a de bien et efficace avec El Caco, c’est que tout est dit dès le départ : leur label s’appelle Indie Recording et ils font du rock indé, et leur nouvel album s’intitule 7, je vous laisse deviner pourquoi…
Efficace est le mot juste. La scène scandinave devient – non qu’elle ne l’a jamais été, mais c’est d’autant plus notable actuellement – un vivier de groupes en tous genres, du Rock le plus gentil au plus extrême. On est là face à des norvégiens qui nous proposent un Rock épuré et catchy, avec un groove bien prenant.
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Note (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Depuis quelques jours, je me pose cette question – débile, ça va de soi – de savoir si ouvrir ses Shakra est aussi répréhensible que de se bouffer des Abba… Vous vous doutez bien que ce jeu de mots laid me sert d’introduction – rien à voir avec l’ouverture des chakras, là – pour vous présenter l’album High Noon du groupe de Hard Rock mélodique suisse Shakra.
Je ne sais pas quel est votre degré d’ouverture, mais si on le met bien à fond, c’est assez jouissif ici… Je parle du volume sonore d’écoute de cet album, hein… Pour faire court et simple, c’est punchy, catchy,groovy, bluesy et autres anglicismes en « –y »… Mais avant tout Heavy et tant qu’à faire du bon… sur une base hard rock et pas punk (parce que « Shakra punk », ça ressemblerait pas du tout à ce que vous allez écouter… mais passons sur ce deuxième jeu de mots laid).
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 7.5/10
C’est vraiment pas gentil de me mettre sous les oreilles le dernier album de Diemond, Never wanna die : on va encore dire que je ne suis pas objectif parce que c’est du heavy, avec une jolie nana au chant, et blablablaaa… Argh, mon point faible… Bon allez, c’est parti.
-T’as vu la bassiste, elle est top bonne !
-Un jour elle sera mienne, oh oui, un jour elle sera mienne !
[Garth à Wayne dans Wayne’s World]*
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Avertissement au lecteur : « hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère… » (C. Baudelaire), cette chronique contient des vrais morceaux de vannes sexistes ! Ces cascades verbales et textuelles seront réalisées par un professionnel avéré, n’essayez pas de les reproduire chez vous (surtout si vous êtes maqué et n’avez pas envie de vous prendre une baffe ou dormir sur la béquille)…
Alors, maintenant que vous êtes avertis… Entrons dans le vif du sujet (une manière assez évidente d’introduire un sujet par une vanne bien ambigüe quand on va parler d’un groupe de nanas)…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ce qu’il y a de bien avec George Lynch, c’est qu’il n’y a jamais mensonge sur la marchandise.
La simple vue d’un nouvel album de Lynch Mob ou un autre de ses projets est l’assurance de passer au minimum un bon moment.
C’est déjà ça, ils ne sont pas si nombreux les musiciens confirmés qui peuvent prétendre à la même chose.
Là, pour le coup, Lynch Mob nous ressort son premier album depuis l’excellent « Smoke and mirrors » qui date déjà de 2009, et le sixième du nom.
Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8/10
Je crois me rappeler que mon premier contact auditif avec la saturation d’une guitare, c’était avec In Rock de Deep Purple (papa fan de rock des 70’s, on tombe dedans, je vais rien vous apprendre, vous avez probablement suivi le même cursus). Ahhhh, les envolées lyriques de Ian Gillian, l’orgue Hammond saturé de John Lord, les soli neoclassiques et les rythmiques épiques de Ritchie Blackmore… Toute mon enfance… (C’est horrible cette impression de parler comme un vieux…)
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Note du SoilChroniqueur (Erikilmister) : 6/10
Il va falloir que je révise sérieusement mes préjugés sur le métal suédois ! En effet, moi qui ai toujours considéré cette contrée scandinave comme la patrie du death mélodique, je suis en train de me rendre compte que ce pays compte nombre de groupes adepte du style Glam/sleeze ! J’avais chroniqué ici http://www.soilchronicles.fr/chroniques/hardcore-superstar-hcss en pensant qu’il s’agissait là d’une exception… et voilà que débarque à présent, dans ma boite aux lettres un autre combo suédois, répondant au mystérieux vocable de Crazy lixx, fan du genre également, si j’en crois mes oreilles !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
42 Decibel nous vient tout droit… d’Argentine !
Deuxième album pour ce quatuor après un bien nommé « Hard rock ‘n’ roll » qui posait magnifiquement bien les jalons de la musique proposée.
Car les gaillards nous servent une musique directement issue de la scène australienne de la fin des années 70 jusqu’au mid eighties : les adorateurs des premiers AC/DC, Rose Tattoo, Status Quo, Creedence Clearwater Revival ou autres Rolling Stones et MC5 vont s’y retrouver !