Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Formé en 2011, le quintet Suédois Armory sort son premier album après deux demos “Open fire” (2013) et “S.M.I.” (2015) et s’incruste d’entrée au milieu des formations les plus crédibles du genre speed metal old school à l’instar des canadiens de Striker ou Skull Fist, de leurs compatriotes d’Enforcer ou autres Portrait et Wolf… voire Ram, groupe duquel Oscar Carlquist pousse ses gueulantes sur « Hell’s fast blades » (titre sur lequel le guitariste Harry Granroth de ce même groupe vient y poser ses soli) et « Space marauders« .
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Eh bien, elle se sera faite attendre, cette réédition d’un des albums de Speed Metal les plus intéressants des mid eighties : on a bien eu droit à une version non officielle en 1999 chez Cobra Records, mais celle-ci vaut son pesant d’or !
En 1986, c’était l’année de quelques albums thrash des plus monstrueux qui soient : entre les « Darkness descends » (Dark Angel), « Master of Puppets » (Metallica), « Pleasure to kill » (Kreator), « Eternal Devastation » (Destruction), « The Force » (Onslaught), « Stay ugly » (Piledriver), les plus black/thrash « Under the Sign of the black Mark » (Bathory), « The final Separation » (Bulldözer), « Possessed » (Venom) ou les plus death « Beyond the Gates » (Possessed) et « Morbid Visions » (Sepultura), il y avait peu de place pour un groupe d’illustres inconnus pour se faire une petite place !
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Incroyable !
Il y a plus de trente ans de ça, Slayer sortait un album intemporel qui aura marqué la vie d’un style balbutiant (le thrash metal) de par sa maturité et son caractère aussi occulte que violent dont bon nombre de groupes non seulement du même genre se réclameront par la suite, mais devenant également une source d’inspiration pour le black metal !
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
Un bon petit déluge de Heavy Metal vous tente?
Cauldron est une formation canadienne qui a beaucoup fait parler d’elle lors de la sortie de son premier album ‘Chained to the Nite‘ en 2009. Cette parution a en effet mis Cauldron sur le devant de la scène Revival Of True Fuckin’ Heavy Metal Of Your Mother….. Oui bon c’est vrai, c’est pas vraiment le nom officiel de la scène, mais à force de donner des noms à tout-va, on s’y perd un peu et je trouvais celui-là assez sympathique non ? Cauldron en effet nous balance un Heavy Metal Old School de très grande qualité. Les deux albums suivants continuent d’enfoncer le clou, un très bon ‘Burning Fortune‘ en 2011 suivi de ‘Tomorrow’s Lost‘ en 2012.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Pour le coup, décrire la musique des Allemands de Bulldozing Bastard ne va pas être trop compliqué : elle est directe, sans compromis et régalera les adorateurs des vieux Motörhead, Venom, Sodom, Bulldözer époque « Day Of Wrath » ou les premiers Bathory.
A l’instar des Américains de Midnight ou des Suédois de Gehennah, Bulldozing Bastard nous balance des titres courts, Rock ‘n’ Roll à souhait, les mêlant avec du Speed Metalteinté de Black.
Fort d’une pochette signée Vielo Josto (Obsessör, Medieval Steel, Endovein, Alkoholizer…) rappelant l’univers de celle d’ «Orgasmatron » de Motörhead, le duo allemand aime à rappeler combien ils sont fans de Lemmy and co.
Ainsi, lorsqu’ils sortent un split avec Whipstriker contenant notamment un morceau s’intitulant « Motörized Metal », on comprend vite !
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak):7/10
Franchement, depuis qu’il est parti de son groupe initial Exciter, Dan Beehler n’a fait que l’envoyer au fond du trou.
Si le dernier album des Canadiens version Beehler était « Kill After Kill », ce sera aussi le dernier album à peu près bon d’un groupe qui aura atteint des sommets dans le paysage speed/thrash mondial avec des tueries cultissimes entre « Heavy Metal Maniac » et « Unveiling The Wicked » avec un énorme « Long Live The Loud » en point d’orgue.
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 05/10
Des fois, c’est mal foutu, la vie d’un chroniqueur.
Autant on peut être heureux de ce qu’on choisit pour se laisser aller à décrire le bonheur que peut nous procurer certains albums (non non, je ne me suis toujours pas remis du « live at Donington » de Whitesnake), autant parfois, on se demande pourquoi, un jour, on a dit « cet album là m’intéresse ».
En cette période estivale, j’aurais pu me coller une petite sélection de choix pour aller draguer sur les plages, entre deux festivals.
Lire l'article
Note du soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Décidément, le Thrash Old School en voit arriver des camions, des nouveaux groupes de « p’tits djeunz » nous pondant une musique qui n’aurait pas fait défaut dans les mid eighties, lors de l’âge d’or du genre, avec les arrivées des Exodus, Slayer, Destruction, Kreator ou autre Sodom. Oui, Rezet est approximativement le 18.612e groupe du genre à nous sortir une petite mais force est de constater qu’on a du mal à se lasser d’un genre qui fait revivre, avec une meilleure production, les meilleures heures d’un Thrash qu’on a cru définitivement mort et enterré à l’arrivée du Grunge, au début des années 90.
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 7/10
Le Heavy Metal, s’il a connu une période sombre dans les années 90, revient en grande trombe depuis le début du nouveau millénaire. Il y a d’abord eu des formations qui l’ont renouvelé comme Hammerfall ou Sabaton et qui ont ravivé la flamme qui brûlait en nous. Depuis, un bon nombre de nouvelles formations se sont créées et revendiquent haut et fort jouer un true Heavy Metal, un retour aux origines.
Lire l'article
Note du Soil chroniqueur (Gwenn) : 6,5/10
Le Chili, tendre pays grouillant de groupes de métal. Je ne suis absolument pas experte en matière de métal chilien d’où le choix de Destroyers of the Faith pour débuter ma petite étude. Un groupe de Doom composé de trois gars apparemment bien motivés à sortir des rangs des inconnus. L’Art Work rappelle un peu les disques de la vieille génération, un brin diabolique, un brin morbide. Un ange de la mort tient dans ses mains ensanglantées une tête de mort et me regarde avec insistance. Procession en est au stade du départ sur la scène internationale et jusqu’à présent, peu de choses disponibles si ce n’est que deux démos (Burn, et Burn + alive), un EP (The Cult of Disease) et enfin, le full-lenght qui tourne sur mon lecteur…
Lire l'article