Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Vingt ans de carrière pour ce groupe allemand de pur Heavy/Speed à l’ancienne qui prône les valeurs d’une musique sans concession ni tentative de modernisme.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Warpath fait partie de ces groupes, allemands, qui officient dans un Thrash Metal plus moderne tout en s’inspirant de certains côtés old school d’autres genres.
Ainsi, si la tendance principale est impitoyablement thrash, on ne se retrouve pas surpris d’y trouver des éléments doom ou death dans leurs compositions, ce qui fait que lorsqu’un groupe comme Warpath nous balance un album tel que ce Filthy Bastard Culture, on peut se manger treize titres et plus d’une heure en une seule fois sans qu’on trouve le temps long, tant cet album se veut aussi riche qu’homogène.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Les thrashers teutons d’Essen de Darkness reviennent deux ans après l’excellent précédent album et avec leur mascotte déjà présente sur les pochettes – signée cette fois Timon Kokott (déjà créateur des pochettes de Horn, In Fury, Teutonic Slaughter ou FreaKings) de Death Squad (1987), Defender of Justice (1988) et The Gasoline Solution (2016) [Soilchronique ici], comme pour donner une suite logique à leur carrière, mettant définitivement de côté leur Techno Thrash – pourtant bien foutu mais un rien complexe – de Conclusion & Revival (1989).
Note du SoilChroniqueur (Toyt) : 7/10.
Les fans de Metal industriel qui n’ont plus rien à se mettre sous la dent, seront ravis par cet album. Les suisses de Stoneman ne sont pas rentrés en studio pour produire un album éponyme à l’ennui auditif.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10.
A Grenoble, on peut trouver bien meilleur qu’un vin chaud après une descente en ski. Quoi donc de mieux, me demanderez vous alors, pour se réchauffer après une séance mouvementée ? La réponse est simple : Elvenstorm.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Encore une fois, voilà la réunion de musiciens issus de groupes de Thrash, Death ou Groove Metal qui se lance dans un Heavy Metal on ne peut plus old school. Les gaillards nous jouent un Heavy Metal occulte, fortement influencé par la NWOBHM avec ce petit je-ne-sais-quoi dans le son qui lui donne quelques relents plus modernes.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Comme je n’avais pas été particulièrement tendre en 2013 avec le premier volet Okkult (2013), je ne m’attendais pas avec cette suite à sauter au plafond. D’ailleurs, cela fait longtemps que je n’attends rien de particulier d’Atrocity : pour moi ils ont tout dit dans la première moitié des années 90, c’est peut-être dommage mais il en est ainsi.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
L’air de rien, Stormwitch fêtera l’an prochain ses quarante années de carrière, commencée en 1979 sous le nom de Lemon Sylvan. C’est en 1981 que le groupe prendra ce nom sous lequel il évoluera jusqu’en 1994, année du split après leur septième album, Shogun. C’est en 2002 que les Allemands se reforment et ce Bound to the Witch est le quatrième depuis leur retour.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Eisregen, Eisregen… Connais pas, c’est allemand ? Oui, surement. Je suis grave à la bourre dans mes chroniques. Tiens ! Et si j’appelais ma sœur qui vit en Allemagne. Elle pourrait m’aider !
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10.
Quand on a entre les mains Dinosaur Warfare – Legend of the Power Saurus, la première chose qui nous passe par la tête est une réaction du genre « Mais… Mais… Qu’est-ce que c’est que ce bordel ??? ». Rarement CD ne m’a causé autant de surprise teintée d’incompréhension et d’une irrépressible envie de rigoler.