Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Après vingt ans à œuvrer pour le metalcore, Killswitch Engage nous livre un huitième album encore meilleur que le précédent, bien plus agressif à la frontière du deathcore par moments. Il n’y a, certes, pas d’innovation ou de renouvellement particulier pour Atonement, mais on retiendra certaines mélodies et riffs de guitares qui, dès la première écoute, nous restent dans la tête.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Depuis ses débuts en 1996 avec son premier album Daemon Qui Fecit Terram, Hate souffre d’une comparaison avec Behemoth et, dans une moindre mesure, Vader et Belphegor. Il faut dire que la scène polonaise de la fin des années 90 reste une référence en matières de formations aussi brutales que techniques, avec ce son propre et puissant qui est devenu sa marque de fabrique.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
De ce que je vois, les Français de Fractal Universe avaient fait très grosse sensation en 2017 avec leur premier album Engram of Decline. Les revoici donc avec leur second LP, Rhizomes of Insanity, soit dix titres (onze si je compte le bonus) de Death Metal Progressif, comprendre : des riffs et rythmiques complexes, des passages (nombreux) en voix claire et des plans jazzy à foison.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10
« L’anticléricalisme et l’incroyance ont leurs bigots tout comme l’orthodoxie. » Julien Green
C’est quand même quelque chose, la Pologne ! Un véritable nid de groupes de plus en plus connus, dans un pays pourtant fortement marqué par un catholicisme très prenant. 40 % de la population est très pratiquante. Et au-delà du tourisme qui en découle, c’est tout un mode de vie qui se situe dans ce versant clérical exacerbé. On se demande bien comment des groupes de Metal peuvent émerger aussi facilement sans faire tache dans ce décor monacal !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6/10
En effet, la sortie du split avec Iron Reagan en avril dernier confirmait bien le retour d’un Sacred Reich qui n’avait plus sorti d’albums depuis 1996, et un Heal qui n’aura une nouvelle fois pas su confirmer les attentes pour une formation qui avait mis à genoux bon nombre de thrashers avec l’intemporel Ignorance, l’excellent EP Surf Nicaragua avant d’entamer une descente qualitative à partir de The American way.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Houlà, alors celui-là, quand je l’ai vu arrivé dans la boîte mail de Soil Chronicles, je l’ai soigneusement planqué à ma team pour me le chroniquer égoïstement !
Hors de question de le laisser à qui que ce soit…
Deuxième album pour les Allemands de Vulture, qui, après avoir coupé tranquillement toutes les têtes en 2017 sur The guillotine, les revoilà pour enterrer les cadavres sur ce petit nouveau Ghastly waves & battered graves.
Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 8/10
J’avais envisagé de commencer ma chronique par une blague sur les dauphins. Mais ce serait sans doute tombé à l’eau.
Týr porte le nom d’un dieu nordique, vient des Îles Féroé, et joue un metal inspiré de la musique traditionnelle nordique, mais à ma connaissance est resté une formation purement Heavy dans les instruments, sans incorporer d’instrument typique de leurs îles. L’aspect traditionnel est généralement exprimé dans les mélodies, notamment en lead guitar et dans les lignes de chant, les refrains et les chœurs/harmonies vocales.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Chroniquer un “album” de même pas quatre minutes. Décidément, j’aurai tout fait dans ce job…
Mais toujours est-il que l’exercice n’est pas inutile. Certes, il présente deux titres de moins de deux minutes chacun mais permet de démontrer que deux générations de groupes de Thrash Metal peuvent aisément se tirer la bourre !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Quand on parle de Thrash Metal allemand, il serait de bon ton de ne pas se cantonner aux éternels Destruction, Kreator, Sodom ou autre Tankard pour avoir de la vraie qualité ! Dans les anciens, des groupes comme Exumer nous foutent sauvagement sur la gueule avec une agressivité remarquable !
Exumer, purée, de savoir qu’il ressortent un nouvel album me rend aussi excité qu’un acarien au salon de la moquette ! Un nom à rendre nostalgique le plus dur des anciens thrashers dont je fais partie. Tu m’étonnes que je n’avais aucune intention de louper cette formation lors de son passage au Hellfest 2018 lors duquel ils nous ont retourné la tête pendant trois quarts d’heure.
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Note du SoilChroniqueur (Le Révérend) : 9/10.
Voilà maintenant dix ans que Downfall of Gaia, parcourt le monde musical. Tout du long de leurs cinq albums, les Allemands n’ont pas hésité à bouger les carcans de leur style musical, qu’on peut appeler pour les amateurs de genres bien classés, Post-Black Metal.