Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10.
Chroniquer un album live de King Diamond sans en avoir l’image, ça risque de limiter quelque peu l’argumentation. Pour avoir vu la bande à Kim Bendix Petersen plusieurs fois en concert, dont une prestation magistrale au Hellfest 2016, on peut affirmer sans prendre beaucoup de risques que le gaillard a le sens de la mise en scène aussi théâtrale qu’horrifique, et ce sera sans déplaisir que votre serviteur se (re)déplacera pour revoir un show de King Diamond.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
Le problème lorsque je parle d’Anaal Nathrakh, c’est que je dis toujours sensiblement la même chose. Que mon album préféré est Domine non es dignus (2004), que le groupe était intouchable en termes de crasse sur The Codex Necro (2001) et que depuis qu’il a systématisé les refrains en voix claire, c’est toujours peu ou prou le même album qui sort, avec quelques variations d’inspirations assez peu significatives.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
Les albums de Death Métal qui font plus de quarante minutes, généralement, je sature avant la fin. Mais The Passage of Existence de Monstrosity, il pourrait durer deux heures que je ne moufterais pas. En effet, le niveau ici atteint par le quintette laisse loin derrière le pourtant très bon Spiritual Apocalypse (2007) et même s’il a fallu attendre dix ans pour écouter quelque chose de nouveau, cela valait la peine.
Amon Amarth – The Pursuit of Vikings (25 Years in the Eye of the Storm) ...
par Bloodybarbie
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
C’est l’histoire d’un viking, il est dans son drakkar, amarré en bord de mer et il entend son pote, dans un canot, qui l’appelle, alors il sort la tête du hublot et le mec dans le canot il lui “hé, Quantumvaprendrunebaf, pourquoi que tu as ton drakkar autour du cou ?”
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
They are Skull Pit and they play rock ‘n’ roll !!!
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Définitivement, dès que j’entends parler des Danois d’Artillery, je ne peux m’empêcher de penser à leur deuxième album, Terror Squad, qui date déjà de 1987. Encore en 2018, je me remets régulièrement cet album entre les oreilles et me délecte de brûlots comme « In the Trash », « Terror Squad » ou « At War with Science ». Tout ça pour dire que ce groupe – et cet album – ont marqué mon adolescence de thrasher invétéré…
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10.
Je suis épaté. Épaté qu’un groupe comme The Ocean Collective ait pu sortir huit albums en comptant ce dernier Phanerozoic I: Palaeozoic.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10.
Originaire d’Amérique, Monstrosity est présent sur la scène death metal depuis 1990, seulement sept ans après les pionniers du genre Death, Possessed ou encore Master. Comme la plupart des groupes de Death US, Monstrosity vient de Floride… de Tampa ? Allez-vous vous époumoner fièrement, le petit sourire satisfait de celui qui sait tout…? Et bien non, Tampa n’est pas la seule ville de l’état ensoleillé qui a vu pousser des hardos teigneux.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
“Siege of Power”, de mémoire, c’est un titre de Napalm Death sur l’album Scum. Et quelque part, c’est assez difficile de ne pas y voir de corrélation.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 5/10.
– “Et nous vous présentons Chris “Metalfreak”, metalleux, qui va vous parler du nouvel album de Satan, Cruel Magic…
– Je ne suis pas un metalleux, Monsieur. Je ne sais pas ce qui vous fait dire que je suis un metalleux, mais je ne suis pas un metalleux.
– Votre “apparence”
– Ah bon? Il ne faut pas confondre identité de genre et expression de genre sinon on va déjà mal partir. Je ne suis ni metalleux ni non-metalleux et je refuse qu’on me genre comme un metalleux.