Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Allez les jeunes, ceci est pour vous : j’ai passé le cap des trente ans depuis peu, j’ai pris comme résolution d’arrêter le Metalcore et de me restreindre au Deathcore (enfin, ça dépend de la qualité).

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10

Pour des raisons d’objectivité, la chronique d’un groupe comme les Butcher Babies est plus crédible si elle est rédigée par une fille (et là toute l’équipe va me tomber dessus). Du Metalcore mélangé à du Deathcore et mené que par deux bombes, c’est ça, les Butcher Babies, qui nous sortent un troisième album nommé « Lilith ».

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10

Allez les jeunes, ceci est pour vous : j’ai passé le cap des trente ans depuis peu, j’ai pris comme résolution d’arrêter le Metalcore et de me restreindre au Deathcore (enfin, ça dépend de la qualité). Pourtant, quand on reçoit un album de ce style, je suis la première à sauter dessus… Il faut dire que le Metalcore nous replonge dans notre adolescence (la mienne en tout cas), je n’y peux rien. Je pense que, même à 80 ans, j’irai à de bons concerts de Metalcore et j’en écouterai encore, surtout quand il s’agit d’albums comme celui qui fait l’objet de cette chronique. Dès que j’en écoute, je redeviens ado !

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10.
Bon, je ressors mon running gag du moment à chaque sortie d’album neo metalcore : si, tout comme moi, avez été choqués et extrêmement déçus de la nouvelle tendance des ex-maitres du nu métal Papa Roach, alors vous pouvez vous consoler avec le nouvel album des 36 Crazyfists. Même si ce nouvel et septième album « Lanterns » est moins attrayant que son prédécesseur « Time and Trauma », qui m’avait fait connaitre et apprécier le groupe, les riffs y sont bien construits et typiques du bon Metalcore comme on l’aime.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10.
Avec Stars can’t shine without Darkness, Diana rising frappe fort, égalant de manière confondante des grosses productions de Metalcore…

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.5/10.
Les monstres sont parmi nous…

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6/10

« J’espère que nous pourrons inspirer ne serait-ce qu’une personne », « la musique c’est ma vie », « on n’a pas besoin de se conformer à une tendance de la scène où ton style capillaire compte davantage que ta musique », « c’est de l’art. J’aimerais que d’autres le ressentent comme nous »… Citation de Shayley – je n’ose croire que c’est une référence au poète britannique mal orthographié – « Dayshell » Bourget pour l’occasion de la sortie du deuxième – second ? – album de Dayshell intitulé Nexus… Bien, bien, bien… Voyons voir si les allégations sont à la hauteur de la prétention…

Après (bien après…) le live report, voici quelques photos pour illustrer le concert d’August Burns Red, Norma Jean et Beartooth, au CCO le soir de la fête de la musique.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10

Qu’est-ce qui pourrait bien hanter l’humanité… ? Ses désirs ? Son absence de désirs ? Ses besoins ? Les besoins qu’on lui crée ? Son espoir ?… Son désespoir ? Son mal-être inhérent ? Son inaltérable soif de pouvoir ? Son inextinguible envie de posséder ? Son irrépressible facilité à s’imaginer maitriser ce qu’elle ne peut contrôler ? Son inexorable propension à l’autodestruction ? Tant de questions existentielles et métaphysiques auxquelles Except One n’apportera pas de réponses – mais si vous avez envie de plancher dessus, vous avez 4 heures ! – dans Haunted Humanity, leur deuxième EP.