Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10

Comme je l’avais dit, c’est le marathon chronique de tous les albums dont le sufixe est -core, puisque c’est la saison de (re)production de ce style, tous labels généralistes confondus, et la pile est loin d’être pliée. Malheureusement, peu sont exempts de la reproduction, du déjà entendu, j’attends avec impatience de tomber sur la perle rare de ce tas à épuiser. Et à ma grande surprise, un troisième groupe de core qui signe chez Nuclear Blast (trois sorties de metalcore de nouveaux groupes signés chez ce gros label, j’ai peur qu’il ait désormais des tendances metalcore). Bon ok, cette fois-ci il s’agit de post-hardcore ou punk pop rock (plus rare chez NB).

Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 6/10

Parfois on éprouve du plaisir à chroniquer une œuvre musicale et parfois on la subit en essayant tout de même de mettre en valeur ce qui est bon à garder… même si l’exercice n’est pas toujours simple. La pensée qui nous revient souvent c’est : « mais pourquoi tel ou tel groupe continue à faire une énième version de ce qui a déjà été entendu mille fois ? » ou encore « non mais si tu ne fais pas mieux que ce que tu as fait ou a été fait, alors ferme ta gueule et ne fais rien ! » Et puis après on reprochera à la communauté de metalleux de ne pas soutenir leur scène fétiche, mais il faut qu’aussi ces groupes comprennent que les gens n’ont pas de la thune en illimité pour s’acheter tous les albums quand on est fan d’un certain style, et je ne vous parle même pas des auditeurs éclectiques…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Deux ans après les deux volumes de “The wrong side of Heaven and the righteous side of Hell”, revoilà les Five Finger Death Punch avec un sixième album bien nommé “Got your six”.
Pour une raison qui m’échappe, si le metalcore m’a toujours profondément fait chier, j’ai un petit faible pour ce groupe.
Et ce n’est pas cet album qui va changer la donne.
Après trois écoutes successives, je me régale autant à écouter ces riffs, ce gros son, ces couplets et refrains imparables…

Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 9/10

Aucun jour ne passe sans ma dose de Parkway Drive pour bien accompagner mon café à réveil ultra énergétique et bien démarrer ma journée. Parkway Drive, c’est LA valeur metalcore sure qui ne trahit… jamais, puisqu’avec ce nouveau « Ire », ils ont fait, une fois de plus, preuve de talent, de son frais avec la marque déposée Parkway Drive © qu’aucun groupe n’a les couilles ou le niveau pour s’en approcher. Avec qui, peut-on vraiment le comparer ? Hé bien, personne d’autre que lui-même !

Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10

Comme on dit, il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis. J’avais profondément enterré Bullet For My Valentine, jusqu’à en oublier son existence, ce groupe pour ados (j’en fus une, certes) depuis la sortie de « Temper Temper » (2013). D’ailleurs, même avant ce dernier, il y avait quelques morceaux tubes dans les précédents : « The Poison » (2005), « Scream Aim Fire » (2007) ou encore « Fever » (2010),  mais rien de bien folichon…Du moins jusqu’à la sortie de ce « Venom ». Après tout, l’écouter ne me coûtera qu’une heure de ma vie et puis c’est mon devoir en tant que chroniqueuse.

Le très récent groupe parisien Polygone a posté des demos sur Soundcloud, en preview de leur premier album sortant prochainement.

Note du Soilchroniqueur ( Arno):7/10

Après un premier album encore trop marqué par des influences évidentes, Meshuggah notamment, on aurait pu attendre de Benea Reach un plus grand effort d’émancipation. Car même si Benea Reach est beaucoup moins brutal et plus porté sur les arpèges, la référence reste encore évidente dans la façon d’agencer les riffs tout en proposant des refrains mélodiques plutôt efficaces tout en restant heureusement hurlés.

Note du Solichroniqueur (MetalPsychoKiller ) : 06/10

Faute avouée est à moitié pardonnée dit le vieil adage. Alors permettez moi d’emblée de présenter mes plus sincères excuses toute à la fois au jeune combo nous venant de Nîmes, All Dogmas We Hate, et au label hexagonal M & O Music en explicitant d’emblée que le « bourrin, bourrin » n’est point ma tasse de thé. Les « core » me filent des migraines et pourtant bon nombre de groupes en composant les légions peuvent me compter dans les rangs de leurs cohortes de fans à l’exemple de Killswitch Engage.