Note de la SoilChroniqueuse (Musta) : 8,5/10

Fan de metal ou pas, presque toute personne vivant dans le monde occidental a forcément déjà entendu le nom de Marilyn Manson.
Personnage emblématique de la scène metal voire shock rock pour certains, ses frasques, polémiques et son personnage provocateur font parler depuis près de trois décennies. Marilyn Manson fascine autant qu’il provoque du dégoût.
Il est d’ailleurs responsable de ma passion pour le heavy metal. En effet, il y a déjà quinze ans, son aspect repoussant m’avait fortement attirée et plongée dans ce monde musical obscur et étrange pour le commun des mortels.

Note de la SoilChroniqueuse (HellFé) : 7,5/10

Un treizième album pour les Suédois de HammerFall.
Le groupe reste ancré dans un Heavy metal des années 80.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

L’air de rien, depuis 2007, il en ont envoyé, des décibels.
En l’espace de trois albums avant cet “Every bridge burning”, deux EP et un split avec Full Of Hell, le gang de l’ex-Terror Todd Jones (guitares et vociférations) s’y entend pour nous envoyer des déflagrations sonores des plus ultimes spécialement réservés à tous ceux qui adorent le crust à la façon des Extreme Noise Terror, Napalm Death de la première heure ou Rotten Sound.

Note de la SoilChroniqueuse (Freya) : 9/10
Aaah, My Dying Bride !
C’est une grande histoire d’amour et de désespoir, bien entendu, entre nous. Une nostalgie mi-figue mi-raisin tout de même. Voici que le glas de la réalité sonne et me fais t’entraîner dans les souvenirs douloureux autant que voluptueux, je te rassure.
L’album de la découverte de cet univers unique, souvent imité, rarement égalé et certainement une des références du groupe, fut pour moi « The Angel and The Dark River » en 1995. Certes le gothic ne m’était pas inconnu, mais résonnait plutôt comme une ombre nébuleuse à côté de styles comme le thrash ou le death que je chérissais déjà beaucoup trop à l’époque.

Note du SoilChroniqueur (Mitch) : 7/10
 
 
« Mind Burns Alive » peut être considéré comme la deuxième partie de « Forgotten Days », excellent précédent album de Pallbearer, sorti en 2020. Suite à des sessions de composition particulièrement fructueuses, le groupe s’est vu disposer de deux packs de morceaux distincts, les premiers, heavy et forts en riffs doom, ont été publiés aussitôt sur « Forgotten Days », quand les seconds, plus introspectifs et mélancoliques, ont dû faire le dos rond pendant toute la période Covid, pour être finalisés en 2024 seulement.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7/10

Salut les gens !
Je voulais vous parler du nouveau réenregistrement, par les frères Cavalera, d’un des intemporels de Sepultura et pas des moindres, car aujourd‘hui ils s’attaquent à ce brûlot qu’est « Schizophrenia ».

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Salut les fans d’Exodus !
Ce groupe de thrash mythique nous propose au menu, un live tiré d’un concert à l’Astoria de Londres, galette sulfureuse qui a pour nom : « British Disaster: The Battle of ’89 (Live At The Astoria) ».
À ce qu’il parait, ce fut un concert mythique, d’où mon envie d’en faire une chronique.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Cinquième album en dix ans, on ne peut pas dire que les Internationaux de Lucifer se reposent sur leurs lauriers en nous proposant en moyenne tous les deux ans un nouvel album.
Mais une chose est sure, ils ne se prennent pas la tête à chercher un titre pour leurs albums : le premier s’appelait “Lucifer I”, le deuxième “Lucifer II” et ainsi de suite, c’est donc tout naturellement que ce cinquième se nomme “Lucifer V” !

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Exhorder nous propose son nouvel album « Defectum Omnium » et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est d’une classe certaine.
Il faut dire qu’ils ont de la bouteille, car en sortant en 1990 « Slaughter in the Vatican », ils allaient marquer le monde du metal avec un nouveau style nommé le groove metal, genre popularisé par Pantera. il faut savoir aussi que son guitariste / chanteur Kyle Thomas est membre du génial groupe de stoner/doom Trouble.
Reformé en 2017, ce combo Américain a depuis lors sorti « Mourn the Southern Skies » en 2019. Quant à l’album qui nous intéresse aujourd’hui, voilà ce que j’en pense.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Parfois, on ne peut rien faire contre les lois de la génétique !
Go Ahead And Die, c’est le groupe formé en 2020 par Max Cavalera et un de ses fils, Igor Amadeus, et avec lequel un album éponyme est déjà sorti en 2021, en pleine pandémie.

Pour cette deuxième offrande, le duo a certes changé de batteur, le Californien Johnny Valles au CV respectable (Ensepulcher, Goreshack, Healing Magic, Proctologist, Swamp Witch, Stinker, ex-Atomic Violence, ex-Fiend, ex-Evulse, ex-Skeletal Remains, ex-Veil of Nithael) a pris la place du Texan Zach Coleman (Black Curse, Khemmis, ex-Dagon, ex-Dominion, ex-Vasaeleth, ex-Maliblis) et montre une facette encore plus sombre et torturée de sa musique.