Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Les rois du Goth n’Roll sont de retour ! Quel sacré retour : après leur très bon X (2012) et sans le moindre changement de line-up, voilà que leur 11ème œuvre Universal Monsters surenchérit son prédécesseur, bien que préservant le même style musical. Nos finlandais adorés nous offrent des morceaux plus catchy et mémorables, une signature du groupe encore plus prononcée. Une chose est sûre : le plaisir est garanti et vous le ressentirez dès l’écoute du premier morceau « Dolce Vita ».
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
‘crénom, avec eux, ça ne rigole pas !
Depuis 1977 qu’ils existent, ce groupe qui s’est formé en pleine explosion du punk nous envoie leur septième album full length dans les gencives et celui là, on peut leur accorder qu’il va décoincer plus d’un prépuce emprisonné dans une fermeture éclair !
Septième album certes, mais on compte au bas mot : 7 EP, 4 splits, 10 singles, 13 ( ?) compilations et 4 lives : autant dire que ça ne chôme par chez les anglais…
Huit ans après l’ébouriffant « Disensitise » (2008), les revoilà avec ce « End of days » qui nous envoie en pleine face quinze uppercuts qui tournent autour des deux minutes et dont ils ont le secret !
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.88/10
Alléluia mes frères et sœurs, le jour est idéal pour prêcher la bonne parole de notre sainte mère l’Eglise du Metal.
Une chose est sure, ce qui anime Metal Church – vous auriez bien compris que c’est d’eux dont je parlais – c’est la Passion ! Si « le pape a dit que l’acte d’amour sans être marié est un péché », eux sont mariés au Heavy Thrash depuis des années et forniquent toujours dans le même lit dans la fidélité la plus totale, au niveau du son/grain/couleur (on se croirait sur un CD sorti dans la fin des 80’s) par delà l’esthétique même.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
« Dieu est trop haut et le tsar trop loin ». Le proverbe russe montre le caractère supérieur de la lignée des maitres de la Sainte Mère Russie durant des centenaires, ainsi que la haute estime qu’on leur porta – mais aussi l’inaccessibilité, d’où le double sens de ce proverbe, traduisible aussi en « débrouille-toi tout seul ». Choisir un titre d’album aussi pompeux que celui-ci, Tsar, tout premier qu’il soit, montre également l’ambition de haute lignée qu’on veut lui attribuer, ou du moins celle qu’Almanac veut lui offrir. Y a-t-il de quoi danser un casatchok à l’écoute dudit album ?
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Note de la soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 5/10
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : c’est du moyen, très moyen même ! A quoi bon sortir un album deux ans après son prédécesseur (Runes en 2014) si c’est pour pondre ce troisième essai, Earthbound, aussi banal que l’était le précédent. Un essai, une fois de plus, raté ! Le problème avec Burry Tomorrow, c’est qu’au sein même d’un morceau, on a une moitié d’enfer qui déchire et une autre qui brise tout le charme.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8.5/10
« On choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille », en voilà un proverbe qui ne s’accorde pas avec le Metal, tant on peut faire les deux ! Et parfois, les liens de parenté se remarquent comme le nez au milieu de la figure – obvious, isn’t ? Mais partons de ce principe et imaginons une photo de famille, car même si la photo n’est pas bonne, on pourra y voir le bonheur en personne et la douceur d’un soir. Sur cette photo, on voit papa Slayer et Papa Pantera – ou MAMAN Pantera si vous préférez, m’enfin on sait tous que le Metal, c’est le mariage pour tous et partouze – entourés des tontons/tatas Anthrax, Municipal Waste, Metallica, Megadeth, Suicidal Tendencies et Kreator. Dans un coin, les petits cousins Trivium et Children of Bodom (le cousin finlandais) font des doigts pendant que papy Mötörhead se meurt à petit feu après sa dernière attaque, ayant déjà rédigé son Testament.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10
Les temps sont durs de nous jours en terme d’art, que ça soit le cinéma en nous bourrant le crane avec plein d’images de synthèse et d’effets spéciaux ou la 3D délaissant l’originalité et fond de l’histoire, l’art donnant naissance à un art plus imaginatif et créatif qu’est l’art contemporain ou modern (voire même l’art immédiat). Tout a déjà été fait et il faut faire preuve d’une plus grande imagination ou de génie pour se démarquer auprès des grands esprits.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
Cinq ans d’attente avant la sortie de ce cinquième et nouvel album Phenotype des néérlandais de Textures… Vous savez, ce fameux groupe reconnu dans l’art du cocktail mêlant MathMetal, Thrash, Metalcore (ou Hardcore parfois) avec une base prog et une section polyrythmique à la Meshuggah (enfin à la Textures, un niveau en dessous de Meshuggah).
Textures est aussi connu pour être adepte de géométrie ; ceci s’exprime clairement sur leurs magnifiques pochettes d’albums, mais cette fois-ci ce n’est pas un simple délire géométrique, plutôt une représentation d’un concept album “double” puisque son second Genotype (la définition scientifique opposée de Phenotype) sortira en 2017.
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Note du SoilChronicles (Wilhelm von Graffenberg) : 9.5/10
Un nouvel album de Fleshgod Apocalypse, c’est un peu comme attendre le Père Noel devant un sapin : avec des yeux – ou des oreilles – de gosse, on est impatient, on a hâte qu’il nous amène plein de belles choses et on n’a pas envie d’être déçu. Voyons un peu ce que ce King nous réserve dans sa hotte…
Si la foi soulève des montagnes, le « Dieu de chair » qui a forgé ce groupe a soulevé des montagnes de poussière agglutinées sur des vieux bouquins d’écriture et de théories relatives à l’Histoire de la Musique, tout en sachant tirer le meilleur de ses contemporains.
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Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 7,5 / 10
Il faudra qu’un jour je cesse d’avoir des préjugés à la con, genre penser que tout ce qui nous vient d’Allemagne en matière de Metal est soit du power (Helloween, Gamma Ray…) soit du Rammstein like… Avec GWLT, il va falloir singulièrement que je me remette en cause ! Le quintet germanique propose en effet un metalcore tinté de stoner (si, si, c’est possible !) assez réussi.
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