Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Envoûtant !
Résumer en un mot le nouvel album de Grand Magus serait pourtant tellement réducteur mais c’est encore avec ce terme qu’il est le plus juste de le décrire.
« Triumph and power » s’inscrit dans cette lignée de heavy metal chers à des groupes comme Manowar, Manilla Road, Dio, Judas Priest, Black Sabbath ou même Bathory dans son époque épique.
Note du Soilchroniqueur (MetalFreak):8,5/10
Des fois, rien qu’à la lecture du nom du groupe et au regard de la pochette, on sait à quoi s’attendre.
C’était évident qu’on n’allait pas avoir affaire à un groupe de brutal death ou de true black metal mais bien de hard rock / heavy metal teinté des seventies.
Si là il n’y a pas de l’influence de Led Zeppelin, Black Sabbath et Hawkwind, voire Cream et King Crimson, c’est à ne plus rien y comprendre.
Et en effet, avec un chant proche de Robert Plant (toutes proportions gardées), des riffs que n’aurait pas renié Jimmy Page, un son épais proche des premiers Black Sabbath et un côté psychédélique propre au premier groupe de Lemmy, on se dit qu’il n’y a vraiment pas mensonge sur la marchandise.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 9/10
Un bon Power Metal, rien de mieux pour se réveiller non ?
Battle Beast est, pour le Celte, une des découvertes majeures de l’année 2012. La formation Finlandaise était en première partie de Nightwish au Zenith de Nantes et avait mis un feu d’enfer. Il faut dire aussi, qu’en passant après le soporifique Eklipse, Battle Beast allait mettre le feu à la capitale Bretonne, mais on en attendait pas autant. Nous présentant son premier album « Steel », le groupe nous a fait une réelle démonstration de son talent, et le publique s’était pris une claque monumentale.
Ils ont peut-être même eu plus de succès que le monstre sacré Nightwish, en tout cas les esprits ont été beaucoup plus marqués par leur set.
Le groupe de Heavy Metal qui avait fait parler de lui lors de la dernière tournée de Nightwish revient maintenant avec un nouvel opus. Et une nouvelle chanteuse.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Il suffit, parfois, de voir les pochettes et savoir d’emblée à quoi on va avoir droit. Ed Repka, une nouvelle fois, nous signe l’artwork avec sa patte caractéristique un album qui, évidemment, allait être du pur Thrash Metal.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 9,5/10
Vous l’aurez vite compris le Celte est un grand passionné de la Reine Allemande, cela faisait fort longtemps qu’il attendait que le colis de Nuclear Blast arrive chez lui. Comment rester calme quand on sait la beauté que l’on va recevoir ?
« Raise Your Fist » arrive alors enfin, comment ne pas être subjugué par ce nouveau disque ? La Queen nous délivre de nouveau un concentrer de Pur Heavy Metal taillé comme à son habitude pour le public et afin que celui ci puisse chanter avec elle en concert.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10
Voilà un nom qui a fait couler beaucoup d’encre.
Luca Turilli talentueux guitariste et fondateur de Rhapsody, formation de power ayant connu d’immenses succès avec des albums comme Dawn Of Victory, et le concept des Symphony Of Enchanted Lands. Changeant alors de nom pour des raisons encore obscures, devant Rhapsody Of Fire, deux concepts albums sortent en 2010 et 2011 « The Frozens Tears Of Angels » et « From Chaos To Eternity » qui remettent la bande à Turilli et Fabio Leone sur le devant de la scène.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 09/10
Il n’est pas beau celui là ?
Après quelques albums un peu plus en dedans, les cinq New-Yorkais d’Overkill nous gratifient coup sur coup de deux albums hallucinants.
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Amateurs de vestes à patches, de riffs aussi speed qu’assassins, de secouage de tête tous azimuts, d’hymnes thrash par camions et de kitscheries diverses, cet album est pour vous !
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak): 9/10
En 1996, lorsqu’on a entendu « Predator », dernier album d’Accept avec Udo Dirkschneider, on ne donnait plus cher de la peau de ce groupe pourtant au passé légendaire.
Depuis quelques temps d’ailleurs, Udo étant plus motivé avec son groupe UDO, Accept n’était plus que l’ombre de lui-même et on les voyait mal reprendre un flambeau quasi éteint pour nous ressortir à nouveau des albums de la trempe d’un « Metal heart », « Balls to the wall » ou autre « Restless and wild », loin s’en faut.
Le split d’Accept par la suite n’en était qu’une demi surprise et pourtant…
2012 voit apparaître le treizième album d’Accept, deux ans après un « Blood of the nation » particulièrement haut de gamme.
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