
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10
« La sorcellerie est un vestige d’anciennes superstitions. » (Théodore Roszak)
Bon, pour ce nouveau monologue, le contexte était particulier. Je vais, pour une fois, devoir exposer ma vie trépidante d’infirmier en psychiatrie, pendant ces temps de confinement dus au CoViD-19. Cette chronique pourrait ainsi rester dans les mémoires de ma célébrité : quand je quitterai ce monde, les gens liront cette chronique et se diront que « Quantum a connu le CoViD-19 », que « c’est un survivant ».
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10
Formation née en 2002 et issue de la scène deathcore américaine, Suicide Silence publiera trois démos et un EP qui leur vaudront une signature chez un label. Le groupe sortira ensuite six albums de 2007 à 2017 et survivra même au décès de son frontman Mitch Lucker mort au guidon de sa moto en 2012. Il est clair que Suicide Silence a su gagner en notoriété au fil des ans mais il a su également diviser d’album en album, jusqu’au dernier et mauvais (tant que ça ?) Suicide Silence. Ils nous reviennent aujourd’hui, en ce jour de saint Valentin, avec Become The Hunter signé par Nuclear Blast.
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Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 9/10
Depuis leur renaissance avec « A-Lex » de 2009, un album de Sepultura est un événement dans le monde de Metal, bien plus à mon sens que Soulfly (encore que le dernier ne soit pas trop mal) au sein duquel Max Cavalera traîne sa peine (pathétique sur scène comparé à la puissance du Sepultura actuel).
Personnellement, j’ai pris une claque avec « Kairos » en 2011 et un mémorable concert au Ninkasi. Puis « Machine Messiah« , le petit dernier en date (2017), avec de belles variations, le retour d’éléments tribaux etc.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Le chiffre du jour : 32 !
32 putains d’années depuis la sortie du dernier enregistrement en date, l’EP The eyes of horror d’un des groupes qui m’aura le plus fasciné dans mon adolescence.
C’est quand même eux qui ont pose quelques jalons supplémentaires à un genre encore balbutiant en nous collant une déflagration implacable avec un Seven churches dévastateur à une époque où on n’avait encore jamais – ou très peu – entendu un truc pareil !

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10.
C’est fou ce qu’on s’impose souvent à notre insu comme zones de confort. Jusqu’à présent, ma connaissance du Metal industriel était aussi commerciale que réduite, alors que je mettrais sans vergogne ce style de Metal sur mon podium de styles de prédilection – le premier étant le Folk. Grosso modo, les groupes que j’écoute en boucle et qui constituent mon encyclopédie microscopique sont Aborym, Psyclon Nine (dont le dernier album a été magnifiquement chroniqué par notre maitre vénéré et vénérable Chris Metalfreak) [NdWvG : mais quel fayot, çui-là !], Rammstein si l’on part du postulat qu’il s’agit de Metal, et Samael… voire White Zombie sur certains morceaux et un album d’Ulver « Perdition ». Pas reluisant tout ça…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Un disque de Hardcore qui sort sur un label de Métal et qui contient un pur titre de Hip Hop (« Post Armageddon Interlude »), on se croirait directement revenu dans les années 90. Et pourtant non, il s’agit bien du nouveau Terror.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10
Un album de Doro, voilà de quoi rendre le monde heureux.
A l’heure où l ‘on parle de dérèglement climatique, de crises financières, de problèmes sociaux.. On en passe des vertes et des pas mures, alors que faire ?
Voici la solution écouter un bon Doro.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Il n’y a pas si longtemps, un bon camarade me remettait en place alors que je lui affirmais que je considérais Madball comme faisant partie de la seconde division du Hardcore. C’est vrai qu’en termes de charisme, d’attitude et de représentativité, le groupe incarne tout l’esprit new-yorkais mais, musicalement, je trouve que la formation a tout dit dès ses débuts en 1994 avec Set it off.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Fatche, quelle énergie ! Quelle agressivité ! Depuis que Horgh et Demonaz ont repris le flambeau d’Immortal, ils ont décidé de revenir à un son plus cru, celui de Battles in the North en gardant un côté heavy propre à celui de All shall fall. Pour le reste, ils n’en ont plus rien Abbath…

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 10/10.
Comme attendu de ce groupe qui n’a jamais déçu ses fans, Amorphis nous livre son treizième chef-d’œuvre Queen of Time.