Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10.
Je viens de me rendre compte d’une chose très triste, Soil n’a pas une seule chronique de Death. Je n’ai hélas pas le temps de me lancer dans une rétrospective et, de toute façon, si vous n’avez jamais écouté un seul titre de Chuck Schuldiner (je suis sûr qu’il y en a encore), je ne peux pas grand-chose pour vous.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Quand vous voyez une pochette pareille et vous lisez « Beast in Black« , et si vous avez un minimum de culture de Battle Beast, alors vous devinez qu’il y une relation textuelle et visuelle entre les deux. Si vous zieutez le line up, que vous connaissez déjà bien Battle Beast ainsi que son historique, vous apercevez l’ex-guitariste de BB (qui a quitté le groupe en 2015), Anton Kabanen. Vous savez déjà à quoi vous attendre et ce n’est pas du black metal !
Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 7/10.
Parmi la pléiade de groupes suédois existant, il est parfois un peu compliqué de s’y retrouver tant le vivier scandinave semble inépuisable. De plus, le niveau global étant relativement élevé, il n’est pas simple pour les petits nouveaux de se faire une place au soleil. Bell, trio originaire de Gothenburg, tente d’y parvenir avec « Tidecaller ».
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
On commence à bien les connaître les Autrichiens de Belphegor. Depuis 1992 et leurs onze albums, en comptant « Tontenritual », l’auditeur a eu tout le temps de se familiariser avec le Black Death satanique de Helmuth et sa bande. Ne pas connaître le groupe aujourd’hui relève de la surdité et / ou de l’aveuglement tant ils ne lésinent pas sur l’attirail clouté.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10
« Un pas en avant, trois pas en arriè-reuh… » Habituez-vous – chez vos parents ? – à entendre ce slogan tant la rentrée va être mouvementée, pleine de manifestations mais pas de joie. Ainsi en sera-t-il de mon ressenti(ment) envers Medusa de Paradise lost, ce quinzième album qui ressemble tant à « la politi-queuh du gouvernement ».
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Je retire ce que j’ai dit (et pensé) : Epica a encore des choses à raconter. Faut dire que les précédentes productions ne poussaient pas à la turgescence – même Simone avait baissé dans mon estime, salivaire y compris… Mais cet EP The solace System va probablement me réconcilier avec les néerlandais.
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Une exception cette fois-ci : double dose de Wintersun !
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Si pour Wintersun et Time I j’ai donné 20/10, celui là n’en vaudra que 8/10.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10.
A écouter avec des glaçons aux lobes et en se souvenant qu’il n’y a pas que l’automne qui peut avoir des langueurs monotones…
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
En quatre albums, dont « Axis Mundi », et une quinzaine d’années de carrière, Decrepit Birth est devenu une figure incontournable du Technical Death Metal. Rien d’anormal à cela compte tenu de la qualité évidente de chaque sortie, bien sûr extrêmement véloce dans l’interprétation mais démontrant surtout une qualité d’écriture indéniable, chose de plus en plus rare parmi les formations qui misent tout sur leur dextérité et leur capacité à aligner le plus de plans possibles le temps d’une chanson.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10.
Si vous vous demandiez ce qu’est devenue la moitié des membres d’Eluveitie qui ont quitté le groupe l’année dernière, et bien le trio composé d’Anna Murphy (chant, vieille à roue), Merlin Sutter (batterie) et Ivo Henzi (guitare) a fondé Cellar Darling, une espèce de groupe qui garde le côté folk d’Eluveitie (surtout la vielle à roue) pour en faire du rock alternatif aux nuances folk. Il faut dire que l’idée est assez originale, je suis même incapable de citer des groupes de la sorte.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Classique mais terriblement efficace, tel est ce nouveau Suffocation. Bien sûr, il faut oublier la sublime barbarie des trois premiers albums (1991 – 1995) mais pour moi qui ai repris la carrière des Américains en cours de route avec « Blood Oath » (2009), je dois dire que le plaisir est toujours au rendez-vous.