Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
J’aurais passé un bon moment à me demander : « Mais qui peut bien être ce chanteur ? Je connais ce timbre ! » alors que j’écoutais Mastery, troisième album de Lancer…
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Je ne vais pas m’appesantir sur le retour du logo originel, « Atonement » n’étant pas un retour aux sources du style Immolation, même s’il s’accorde parfaitement à l’Artwork. On va plutôt s’intéresser au contenu, quand bien même mon avis ne vaudrait pas plus cher que celui d’un autre.
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Note de la SoilChroniqueuse (Excalibur) : 6,5/10
Vous aviez eu du mal à vous remettre de la dernière chanson de Renaud dans laquelle il embrasse un flic ? Vous vous disiez que le chanteur révolté avait bien vieilli et se rapprochait de la maison de retraite ? Hélas… Il semble que ce symptôme ne touche pas que notre ancien rebelle parisien et que cette maladie traverse les océans pour atteindre la côte est américaine…
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodyarbie) : 6.5/10
Attention ce n’est pas du Metal ni du rock, mais un album (avec une pochette horriblement moche) mais c’est signé chez Nuclear Blast !
Dès les premières secondes du premier morceau, on reconnait la voix unique de Magnus Pelander, le chanteur de Witchcraft. Après nous avoir offert un magnifique album l’année dernière, voilà qu’il nous présente son projet solo acoustique. Adieu basse, batterie et tout ce qui est électrique : c’est Shabbat ! Un album simple pour les amateurs de la musique acoustique au bord de mer autour d’un feu, avec un violon pour l’accompagner de temps à autre et une femme aux envolées lyriques comme dans « True Colour », similaire à « Precious Swan » et « The Irony of Man ».
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
Des petites sorties discrètes et dans l’inconnu comme celle de Forever Still, ça fait plaisir ! Metal alternatif à chanteuse, dans la lignée de Halestorm, Icon for Hire, et surtout Evanescence, non seulement parce qu’il y a une forte présence de piano, mais la sublime voix de Maja Shining est assez proche de celle d’Amy.
Si vous n’avez jamais entendu parler d’un groupe qui fait un concept album sur une femme dépressive, Forever Still l’a fait… Après tout, pourquoi pas : il faut bien parler de la maladie du siècle qui touche beaucoup d’entre nous. Leur musique, mélancolique (surtout à cause du piano) et la voix de Marja accentuent davantage le concept de l’album. On y trouve également des morceaux lourds et pêchus avec ce double chant clair/screamé comme dans : « Scars », « Break the Glass » et « Awake the Fire », le reste étant plus tempéré et mélancolique.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 5/10
Un an plus tard : Lamb of God, le retour ! On n’aura pas attendu longtemps depuis que David Randy Blythe a été innocenté de l’homicide involontaire en 2013 : lui et ses acolytes repartent à fond les caisses !
Un retour très modeste d’ailleurs avec un EP, et même pas un vrai EP comme la majorité des groupes : un EP de deux morceaux avec un chant clair de David assez dérangeant (dans « The Duke ») voire faux, qui ne cassent pas trois pattes à un agneau, même celui de Dieu. Certes, ça poutre, les riffs sont sympas, les soli aussi, mais voilà quoi : deux pauvres morceaux pour nous laisser sur notre faim, c’est injuste ! A jeter : « The Duke », à retenir : « Culling ».
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10
Quoi de mieux qu’un bon premier EP d’une petite demi-heure pépère avec 4 morceaux bien consistants pour nous présenter le doom spécial que nous offre le groupe suédois The Doomsday Kingdom. Du doom à la Avatarium (un chant féminin similaire sur « Never Machine » et « The Sceptre ») aux principales influences de Black Sabbath, mais surtout Candlemass, dans le mid-tempo avec une prod au son artisanal et typique du gros doom à l’ancienne.
En parlant d’Avatarium, si on ressent si fortement un gros point commun (même deux) dans le son et les compositions entre les deux groupes c’est parce qu’ils partagent deux membres : le guitariste très talentueux Marcus Jidell (et qui est aussi guitariste de Soen depuis l’année dernière) mais SURTOUT le dénommé “père du doom”, le bassiste (et multi-instrumentiste) Leif Edling, qui n’est personne d’autre que le fondateur de Candlemass. Que du bonheur !
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
L’empire n’est pas celui qui contre-attaque mais le nouvel et onzième album de Vader !
Avant de lire cette chronique, qui n’est rien d’autre qu’un complément de ma chronique de leur EP « Iron Time » sorti en septembre dernier, commencez d’abord par la lire (ça m’évitera le copier-coller) : http://www.soilchronicles.fr/chroniques/vader-iron-times
Moi qui l’attendais avec impatience, cet album, je n’ai pas été déçue mais pas émerveillée non plus.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
Neuf mois après avoir forniqué avec son amant, Satan, une pauvre génitrice mit au monde un certain Dani le 25 juillet 1973, et dès sa décente aux enfers terriens, le diablotin poussa un cri strident “waaaaaaaaaaaaaaaaaa”, la première performance publique de Dani qui a fait fuir tout le corps médical. Une vocation est née, sa destinée était déjà toute tracée, mais il ne savait pas encore marcher droit pour la suivre. Des années de répète (depuis sa naissance) et d’entrainement acharnés, à pleurer jour et nuit, pour aiguiser encore plus ses cris et les perfectionner jusqu’à rendre sourds ses parents, je n’imagine même pas la vie infernale qu’a dû subir sa pauvre mère durant toutes ces années… Après tout, c’est le châtiment pour avoir couché avec Satan !
Ses cris uniques lui donnaient un certain pouvoir invincible : un seul cri et le monde entier se pliait à lui et exécutait ses ordre sous peine de devenir sourds, et croyez moi, même les boules Quies ne servaient à rien (peut-être qu’on verra Dani dans un des Marvel dans le rôle d’un méchant).
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 6.5/10
Avec un nom pareil on devine déjà le style, c’est forcément du machin truc core. Nouvelle signature chez Nuclear Blast/Arising Empire, le groupe américain Walking Dead On Broadway vous assure une déflagration de brutalité, le tout orchestré par une voix bestiale…mais c’est tout ! Donc si vous êtes amenés à assurer un combat de catch ou autre sport où la violence est la clé de la réussite, comme la guerre chaude ou une guerre que vous menez contre vous-même, cet album peut convenir.
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