Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8.5/10.
Joli parcours que celui des Milanais de Grind Zero ! Ouvrir pour Entombed en 2012 au bout d’un an de formation et avant même d’avoir publié quoique ce soit, c’est plutôt pas mal ! Leur démo Forceful Displacement verra le jour un an plus tard suivi de leur premier album Mass Distraction en 2014.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Dix ans d’existence, un line up inchangé depuis 2012, une démo (Demo(n)14 en… 2014), et ce premier album éponyme. Difficile de faire une bio plus succincte qui ne montre rien de plus que l’essentiel.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
– Bon, les gars, si on se faisait un deuxième album ?
– Ouais, partants, surtout que le premier, Rise to survive [avec un lien de la soilchronique à sa sortie en bas de page], avait bien été apprécié !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10 .
Dans la série “les rééditions qui font plaisir”, on va parler du troisième album de Devastation, sorti initialement à l’été 1991. Non, je ne me suis pas foulé en rédigeant cette phrase introductive qui est pile poil une resucée de la chronique de l’album précédent. Le même jour, Punishment 18 Records nous sort les rééditions de deux albums cultes de Devastation, on ne va pas feindre le plaisir, non ?
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10 .
Dans la série “les rééditions qui font plaisir”, on va parler du second album de Devastation, sorti initialement à l’automne 1989. Vingt-huit ans déjà que cette petite bombe atomique de bon vieux Thrash Metal est sortie et la réécouter montre qu’elle n’a pas pris une ride.
“Signs of Life” est le deuxième album (sur trois) sorti par les Texans de Devastation, et force est de constater que le groupe porte particulièrement bien son nom. Du bon Thrash Metal, sans compromis, avec son lot de titres qui tabassent sévère au milieu d’autres plus variés, mais toujours dans une veine agressive !
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
J’ai beaucoup de tendresse pour les anciens… Je ne parle pas des Grands Anciens – qui n’en aurait pas ? – mais pour nos aïeux. On s’émerveille toujours à écouter pépé raconter ses faits d’armes d’une guerre qu’on ne se souhaite pas, pas davantage qu’à nos gosses, ou mémé radoter des « de mon temps, blablabla »… Et puis je me dis qu’à un moment plus ou moins proche – le moins tôt possible quand même – on sera à leur place, à radoter également…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Et bien non, au Japon, il n’y a pas que des gens qui ne méritent que de se faire railler par un couple de pseudo humoristes, l’un à peine post pubère (du moins sur sa carte d’identité) et l’autre qui ne fait que rêver d’une « banque qui »… Non, au Japon, on a aussi des groupes pour le moins méritants, au moins dans le metal – non, je ne parle pas de visual key, surtout pas, et encore moins des Babymetal – comme Loudness, Anthem ou 44 Magnum pour les plus anciens, mais aussi Fastkill, Church of Misery et les excellents Beyond Description qui nous concernent aujourd’hui !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Être un fan absolu de thrash metal doit-il impliquer automatiquement qu’on doit aimer tout ce qu’on nous propose ? Assurément non !
Malgré tout, on sélectionne un minimum : il y a les albums qu’on va trouver fabuleux malgré une originalité frôlant le zéro absolu, il y a ceux qui rajoutent une belle touche personnelle à une musique réchauffée, et il y a ceux qu’on va trouver d’une inutilité absolue.
Dans le cas d’Adversor, on est de la première catégorie !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Smashing through the boundaries, lunacy has found me, cannot stop the battery
Pounding out aggression, turns into obsession, cannot kill the battery
Cannot kill the family, battery is found in me
Battery, battery
Et bien non, il ne s’agit pas de ce Battery là : et d’ailleurs, contrairement aux croyances populaires, les cinq Danois n’ont pas pris ce nom en fonction du titre de Metallica !
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Note du SoilChroniquur (Arno) : 7,5/10
Là, je dis oui ! Moi, si on me demande poliment les choses, je ne suis pas le mauvais bougre, je mets une bonne note, sachant reconnaître avec discernement le bon élève. Il faut dire qu’il y a tellement d’ânes, de copieurs, de branleurs de fond de salle qui considèrent qu’un bon look vaudra toujours mieux qu’une copie sérieuse et deux minutes d’analyse qu’il n’est pas compliqué de reconnaître l’étudiant appliqué, studieux, et ce même s’il est sale comme un pou à l’image de Nuclear Aggressor.
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