Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Alors celle-là, faut que je te la raconte !
Ah si, pas de « Oh non, Metalfreak va encore nous raconter ses contingences affectives avec les femmes ».
Et bien si !
En général, c’est ce qui arrive quand le chroniqueur ne sait plus comment tourner les descriptions de ses albums sur lesquels il a particulièrement accroché, histoire de ne pas faire dans la redite ou la redondance, tout en ne sombrant pas inutilement dans le pathos non plus…
Elle était jolie tout plein, on se faisait des coucous, des sourires, on papotait de temps en temps : elle écoutait mes élucubrations de grand reporter de la scène rock/metal internationale, de grand baroudeur à la recherche de la photo qui tue, de grand esthète en matière de connaissances des groupes les plus improbables dans le plus obscur pays d’Amérique Latine.
Et elle m’écoutait, parfois même sans bailler, c’est dire si j’avais rencontré la perle rare !
Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 7,5/10
Quand on lit « Progressive Metal » dans la description de Toothgrinder, ce qui est sûr, c’est qu’on ne s’attend pas vraiment à ça. En lisant ces deux mots vient immédiatement dans notre esprit l’image d’un Dream Theater, d’un Symphony X ou un autre groupe de ce style. Et quand on lance Nocturnal Masquerade, ça surprend. Parce que les premiers riffs ne mentent pas : avec ce premier album, et sans doute les trois EP qui l’ont précédé, Toothgrinder nous dévoile une musique bien plus influencée par le Metalcore à la Textures – appelé aussi Djent, mais le nom est controversé –, que par la bande de Petrucci.
Ça, il ne nous faut que peu de temps pour le deviner. Polyrythmie, riffs syncopés, chant hurlé Hardcore puissant. Tout ce qui fait le genre est présent. Pourtant, on remarque presque tout aussi rapidement une sorte d’amour pour l’efficacité. En effet, sur douze, seuls deux titres dépassent les quatre minutes, comme si Toothgrinder voulait faire de chaque piste un potentiel single passable en radio.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Formé en 2006 sous le nom de Dødning avec lequel ils ont sorti un EP éponyme de quatre titres en 2009, le sextet Danois change de nom en 2010 et deux albums voient le jour en 2011 (« For wolves and vultures ») et 2013 (« Oh death »).
Un changement de bassiste plus tard, Theis Roed Thogersen remplaçant Søren Nybo Hansen en 2015, et voilà ce troisième album sobrement intitulé « Helhorse » qui voit le jour en mai 2016.
Mélange crasseux de metal, de punk, d’un soupçon de harcore et de classic rock, le groupe peut se targuer de nous envoyer un album qui fera l’effet d’un uppercut en pleine face dès sa première écoute.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Sacré personnage que ce Tuomas Saukkonen : véritable bourreau du travail, il a déjà sorti une quantité impressionnante d’albums avec bon nombre de groupes – ou projets solo – et jouit déjà, à seulement 35 ans, d’un CV pour le moins très fourni : sept albums et deux EP avec Before The Dawn, un split et trois albums avec Black Sun Aeon, un EP avec Bonegrinder, un album avec Dawn Of Solace, même chose avec RoutaSielu et The Final Harvest. Rajoutons à ça quelques apparitions en guest sur les albums de formations diverses comme Dark The Suns, Lunar Path, Nonexistence, Rain Of Acid et Sinamore et ça donne une idée de la boulimie artistique du Finlandais.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
On a tous été surpris par cette pochette à la fois intrigante et provocante comme vous pouvez bien le voir : d’un côté une femme voilée, de l’autre un militaire dont les visages sont masqués par une rose…
Anti-Flag est parmi ces grands groupes américains dans l’histoire du Punk qui sont très engagés politiquement aux USA et à l’échelle internationale (Amnesty International, Greenpeace, PETA, DemocracyNow!…) et qui se déchainent pour défendre des causes nobles.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7.5/10
Je ne connais pas l’histoire officielle mais j’ai ma petite idée de la cause de l’anonymat quasi absolu de ce qui est pourtant l’un des plus beaux disques de Heavy Black Métal à être sorti au cours des années 90 : Source Of Origin des Anglais de December Moon. En effet, la même année (1996) sortait Dusk And Her Embrace, album emblématique que l’on ne présente plus. Aussi, dans l’Angleterre de cette époque, comment survivre quand son concurrent direct se nomme Cradle Of Filth ? Il faut croire qu’il n’y avait pas assez de place pour ces deux formations, la discrétion de December Moon lui étant sans doute fatale.
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Hormis l’animal, à deux lettres près, le nom de Krokodil ne dit peut-être rien à la plupart d’entre vous. Et ce n’est pas anormal. Formé en 2011, ce sextet anglais n’a rien sorti si ce n’est, en 2014, l’album dont nous allons parler. Pas une démo ou EP et pourtant, pour ce premier enregistrement, ils sont signés direct par Spinefarm, qui n’est pas la plus petite maison de disques qui soit. Peut-être est-ce dû à leurs prestations (simple hypothèse), peut-être à un copinage ou simplement au flair de l’un des employés du label… Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 8/10
Depuis son départ d’Opeth, je me demandais sur quel projet s’était concentré Martin Lopez. Il faut dire que ce départ m’avait marqué – moins que celui de Peter Lindgren, qui laissa Mickael Akerfeldt comme dernier membre historique. Il était l’un des piliers du groupe depuis son troisième album et son successeur, plus axé sur la vitesse et la brutalité que sur la subtilité, n’a pas plu à tout le monde (même si je ne fais pas partie des détracteurs). Ce départ m’a marqué. Un sentiment amplifié par le fait qu’Opeth est l’un des tout premiers groupes de Metal que j’ai écouté.
Bien sûr, j’ai suivi le parcours du batteur mais de loin, sans poser d’oreilles sur ses deux formations : Fifth to Infinity et Soen. Heureusement, l’arrivée du nouvel album de ce dernier, Tellurian, a pu changer tout ça…
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6,5/10
Eux, je les ai vus en concert à Lyon le 03 avril 2013 en première partie de Stratovarius.
La chanteuse, malade, avait dû laisser sa place à un remplaçant de fortune qui a tenu la place avec brio.
Et la performance était convaincante.
Sorte d’Electro/Pop métallisante, le show a été d’une grande énergie communicative et, si le genre n’est pas parmi mes favoris (loin de là), je dois reconnaître que j’ai été bien bluffé ce soir-là par un groupe dont je n’attendais absolument rien.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
On est en 2015, bon sang !
Et quels sont les albums qui m’ont fait le plus triper ces derniers mois ?
Ceux de Blues Pills, Monster Magnet et Spiders, entre autres !
Mais qu’ont-ils tous à se mettre à jouer une musique au revival seventies plus que prononcé ?