Note du Soilchroniqueur (Erikillmister) : 5,5/10
Deuxième album des Anglais de The Jokers, ce « Rock’n’roll is alive » ne viendra pas bousculer la hiérarchie du Hard rock. Non pas qu’il soit déplaisant, au contraire, il s’écoute même avec une relative facilité. Vous allez donc me demander : mais où est le problème alors ? Déjà comme je le dis un peut plus haut, la facilité. Le quatuor n’a pas vraiment donné dans l’originalité se contentant de reproduire à l’infini tout les gimmicks les plus éculés de ces 40 dernières années.
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Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 5/10
Encore un survivant des années 80 avec les Hollandais de Vengeance.
Le groupe, fondé en 1983, a traversé bon an mal an les décennies, délivrant son hard rock gentillet pour notre bon plaisir. Le line up a peu évolué au fil du temps, le seul changement notoire étant le remplacement de Jan Somers décédé tragiquement en 2011, par son fils Timo.
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Note du Chroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Bref, Vicious Rumors alterne l’excellent (souvent) et le plus dispensable (un peu) dans un album « Electric punishment » qui malgré tout ne me déçoit pas non plus et se situe dans les meilleures offrandes de la bande à Thorpe : nul doute que mon côté fan hardcore du groupe me pousse à être plus sévère que les autres…
Mais là, c’est mon problème !
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):8/10
Il y a des bières avec lesquelles on n’est jamais déçus.
On a tous un houblon préféré, blond, brun ou roux. Les bières brunes, voire noires si elles sont faites à base de blé noir, font souvent le bonheur des amateurs. Il faut dire quelles possèdent quand même plus de saveurs, une légère amertume qui relève le palet. Mais il faut quand même être aiguisé : si c’est la première bière que vous buvez de votre vie, restez quand même un bon moment sur les blondes et commandez des simples demis au comptoir. Si tout se passe bien, avec le temps vous pourrez oser quelques émotions plus fortes.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Définitivement, l’arrivée d’un nouvel Anvil est toujours accueilli à bras ouvert par votre serviteur, tant ce groupe aura traversé les années – et ma vie – depuis les incontournables « Metal on metal » (1982) et « Forged in fire » (1983), et dont certains titres comme « 666 », « Forged in fire », « Motormount », l’instrumental « March of the crabs » ou « Hard times – fast ladies » tournent encore régulièrement sur ma platine.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Fallait oser : décrire le genre pratiqué par ces quatre gai lurons de Nuremberg comme étant du « happy metal » ne relèvera pas cette fois ci d’une envie traditionnelle intrinsèquement rébarbative consistant à classer chaque groupe dans un tiroir musical différent, chose si chère à nos sempiternels chercheurs de repères, mais là, il faut bien se rendre à l’évidence, définir ce qu’on entend pendant 64 minutes comme du simple power metal semble presque réducteur, même si l’affubler en plus de « speed » ou de « heavy » eût une quelconque tendance à préciser un tantinet l’orientation musicale de l’œuvre.
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Note du Soichroniqueur (Metalfreak) : 06/10
Formé en 2004 avec deux anciens membres de Sweet Savage, à savoir le batteur Davy Bates et le chanteur John Harbinson, Stormzone signe ce « Zero to rage » qui fleure bon le hard rock et le heavy metal influencé par la NWOBHM.
Troisième album donc pour le quintette Irlandais après « Caught in the act » en 2007 et « Death dealer » en 2010, ce « Zero to rage » n’est ni plus ni moins que la continuité des deux précédents efforts, avec une originalité frôlant le zéro absolu et encore cette habitude développée sur « Death dealer » de proposer des titres très longs entre six et sept minutes là où un format plus classique de quatre minutes suffiraient
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Et ben celui là, je n’y croyais plus ! Enfin un bon album de Riot, que dis-je, un excellent album de Riot. Voilà un groupe qui ne me faisait plus trop rêver depuis l’excellent « The privilege of power » qui date quand même de plus de vingt ans (1990, pour être précis). Riot, groupe qui, avec le regretté Rhett Forrester, nous sortait en 1983 un impressionnant « Born in America », cinq ans avant un pur bijou «Thundersteel » avec un Tony Moore déjà impressionnant, enfin de retour sur ce « Immortal soul » et qu’on n’avait plus entendu sur un album de Riot depuis… « The privilege of power »…
Lire l'articleLe groupe vient d’être récompensé en Suède par un gold single award pour le titre Wrong présent sur leur dernier album Glorious Collision. Le single s’est vendu en Suède à plus de 10 000 exemplaires. C’est leur première récompense dans leur propre pays, et c’est également la première pour le label Steamhammer/SPV dans un pays […]
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