Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

“If you need the horrors of war
See Korgull
The nebulous prowler will come to
Take you and exterminate your life” (Voivod, 1986)

Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 7,5/10

Avulsed, groupe de vieux briscards madrilènes qui sévit depuis le début des années 90, semble inusable malgré les années qui passent inexorablement ! Le Metal dans tout ce qu’il a de plus extrême coule dans leurs veines, si bien qu’ils naviguent dans les eaux troubles et mouvementées, au point que leur style soit qualifié de Brutal Death Metal pour les uns, de Goregrind pour les autres, là où certains pensent voir et entendre du Gore Death Metal ! Les limites entre ces styles sont parfois aussi troubles que les eaux d’un marigot rempli par les égouts de la ville, chacun y verra donc ce qu’il veut bien y voir !

Note du Soil Chroniqueur (Fast Freddy) : 7,5/10

Alors qu’à la fin des eighties, la scène Thrash tient toujours le haut du pavé en matière de Metal aux States, et que le Grunge retient l’attention au début des années 90, Deteriorot, qui s’appelait Mortuary à ses débuts, sort du bois et plante le drapeau du Death au milieu du dispositif, se manifestant ainsi comme étant parmi les pionniers du Death US, un peu à l’instar de ce qu’a fait Mercyless chez nous !

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10

Ben bordel, pour avoiner, ça avoine plutôt sévère !
Originaire de PACA, Catacomb fait figure de vétéran sur la scène Death Metal française. Formé en 1990, ils sortiront trois démos, deux compilations et deux EPs, dont le dernier Back to Unknown Kadath, qui paraît en 2022.

Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 7/10

Coffinborn est un trio Hongrois qui s’est formé en 2012 et a sorti un premier MCD Beneath the Cemetary en 2014.
Quand on voit le nom du combo et le pseudonyme des musiciens, Blasphemy, Churchburner ou Disguter, on ne se pose pas de question sur le style pratiqué

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« Ne pas sentir la putréfaction du monde moderne est un signe de contamination. » Nicolás Gómez Dávila

Il est rare que je fasse la chronique d’un groupe de Death Metal. Non pas que le genre ne m’intéresse pas en tant que tel, au contraire! J’aime beaucoup de groupes de Death Metal, mais ils sont le plus souvent associés à un autre genre.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Celui-là, il fera plaisir à tous les thrashers nostalgiques.
Détente, c’est bien évidemment un statut culte avec un unique album sorti avec la belle et regrettée Dawn Crosby, trop tôt partie des suites d’une insuffisance hépatique aiguë à seulement 33 ans en 1996 : “Recognize no authority” qui avait fait son petit effet en 1986.
Inutile de revenir sur l’historique du groupe, ni sur l’album, tout ceci a déjà bien été décrit lors des chroniques tant de l’album mythique (>> ici <<) que de celui de 2016, “Decline” (>> là <<).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Inutile de revenir sur l’historique du quatuor de Vancouver, il a déjà été développé dans des chroniques d’albums et / ou EP précédents du groupe.
Toujours est-il que les vétérans d’Aggression en sont à leur cinquième full length depuis leur formation en 1985, dont trois (+ un EP) depuis leur reformation en 2014 après quelques années chaotiques.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Que dire de plus sur un genre pour lequel certaines mauvaises langues diront qu’il n’y a plus de surprise sinon d’entendre toujours un peu la même rengaine ?
Même s’ils ne sont pas loin de ne pas avoir tort, le Thrash Metal old school n’ayant que peu de place à la révolution et à la surprise – on ne l’estampillerait pas “old school” si c’était le cas –, n’a parfois de surprenant que la qualité des groupes et des compositions qu’ils proposent.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Un jour, il faudra que je prenne quelques heures pour établir la liste, et la classer dans l’ordre chronologique histoire de me compliquer la tâche, de tous les albums de Death Metal sur lesquels apparait Rogga Johansson (y compris en tant que guest) depuis qu’il a trouvé le chemin de son premier studio d’enregistrement. Ca risque de m’occuper un sacré paquet de temps !