Et oui, nos petits extraterrestres n’ont pas dis leurs dernières volontés. Pour les fans, et les non-fans, qui aiment les groupes qui sortent des sentiers battus, voici ce que l’on vous propose :
06.08.11 SCHIELRING (DE) – Labertal festival
14.08.11 LUXEY (FR) / Festival Musicalarue
19.08.11 ATH (BE) / le Télégraphe
Et à suivre ….
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Le Hellfest, on en parle encore, mais d’une autre façon.
Mercredi 2 août 2011 France 4 diffuse le documentaire Hellfest, le métal expliqué à ma mère. Pour l’occasion l’humoriste Thomas VDB s’immerge dans cet immense rassemblement dans lequel les « métalleux » remuent leur chevelure au son des rythmes électriques.
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Hell’o, vous !
Notre Hellfest national se termine à peine que la rédaction de Soilchronicles, toujours à la pointe concernant sa faculté à proposer de nouveaux concepts, innove encore et en un fascinant et concluant brainstorming, vous présente « Le Hellfest, par celui qui n’y était pas ».
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Les Grenoblois d’Amon Sethis se confient à Metalfreak pour leur premier album pour le moins passionnant…
« Le groupe a été formé en juin 2007. A l’époque j’officiais encore dans le groupe HELLIXXIR, combo de heavy thrash. J’avais envie d’explorer de nouvelles choses. J’ai rencontré un batteur du nom de Raphäel FASCIO puis Olivier BILLOINT. J’ai proposé à Maurizio COLOMBO, un excellent bassiste avec qui je travaille sur un groupe de reprises du nom d’ERATO, d’intégrer le projet […] »
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
La mélancolie, humeur de la bile noire, provoque un état de tristesse, et est à l’origine considérée comme une source de génie et de folie permettant de passer un temps de crise et de trouver un autre sens à la vie. L’état où l’on se trouve pendant un bilan de notre vie, à peser le bien et le mal, pour savoir comment nous orienter par la suite… La tristesse engendrée peut nous emmener alors à prendre plusieurs décisions, se réveiller et s’activer dans un but précis, devenir plus sensible à certaines choses, ou alors de ne plus les laisser passer.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8.5/10
C’est en 2007 que Julien Tournoud, à peine parti en claquant la porte de Hellixxir, fonde Amon Sethis avec un projet en poche, celui de raconter, l’espace de trois albums, la saga de Amon Sethis : Isias, amené auprès du grand prêtre de Amon et de Seth. Par la combinaison de rituels et de médecines divins, Isias hérite des pouvoirs de Seth et de Amon, devenant par là même le Dieu Serpent, représentant du mal sur Terre Amon, Sethis. La quête, dès lors, d’Amon Sethis sera d’ouvrir le livre secret des pyramides à la page 222 et de prononcer la prophétie pouvant faire revivre Seth… Voilà pour camper le décor.
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Camille s’en est allé… « Nous avons la douleur de vous faire part du décès de Camille Marquet, chanteur/bassiste du groupe HELLIXXIR, survenu lundi 18 juillet 2011 dans un terrible accident routier. Plus qu’un musicien talentueux, nous perdons prématurément un frère… la peine est immense. Nos pensées accompagnent sa famille et ses proches. On t’aime Camille. Arnaud, Matthieu et Romain.«
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
Department of Correction est un jeune groupe parisien de grindcore, il a déjà quelques concerts à son actif, le deuxième titre de l’album « Spas » est d’ailleurs écrit pour la salle de Genevilliers. Le groupe est composé de quatre musiciens, Greg a le rôle de chanteur, Marc celui de bassiste, Florian s’occupe des guitares et Yohan tape fort sur les fûts. Leur premier Ep autoproduit vient de sortir : L’Ecole du Gout, distribué par le petit label Pogo Records.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Après deux démos en 2009 (« The longest shadow ») et en 2010 (« Fairytale of perversion »), le quintet de Trondheim (Norvège) Exeloume, formé en 2007, nous offre enfin son premier album. Avec une pochette signée Ed Repka, une production aux petits oignons de Dan Swäno, des featurings par ce dernier et par Andy Laroque : c’est clair et niet, il ne fallait pas s’attendre à quelque chose de très innovant. Bien au contraire : on nage en plein old school avec ce cocktail combinant l’énergie et les riffs incisifs du thrash des mid-eighties avec la furie du death metal du début des nineties… avec des sonorités plus modernes : entendons-nous bien, le son est ici ENORME !
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