22 août – Lenny Kravitz “Black & White America” – nouvel album / RR
29 août – Red Hot Chili Peppers “I’m With You” – nouvel album / WEA
12 septembre – Dream Theater “A Dramatic Turn of Events” – nouvel album / RR
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Note du Soilchroniqueur (MetalPsychoKiller) : 07 / 10
Votre Metalpsychokiller a un caractère de merde, est coléreux, rancunier et sa mauvaise humeur, -particulièrement au réveil-, le cale irrémédiablement dans le gang des « cas soces » à éviter. No life, pas intéressant, le gars se lève à deux heures de l’après midi… Café/clopes (avant la mousse qui ne va pas tarder !), se fout devant l’ordi… Et se goinfre d’emblée en poussant à donf le caisson de basse d’un Ep de Dagara qui déchire sa race ! Ma fille monte le son du plasma et mon fils celui-du line7 pour sa Viper, ma femme fait la gueule et ferme la porte, mon chien hurle la mort, et les voisins se gavent de Valium car les décibels du taré tatoué sont de retour. Fuck the neighbors mes potos, le Metal est une religion ancrée dans mon sang bleu d’alcool, non de royauté.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 9,5 /10
En mars dernier, on vantait déjà en ces pages tout le bien qu’on pensait du petit dernier « Breaking the silence » du groupe thrash allemand Assassin. Je mentionnais notamment les deux premiers albums du groupe « The upcoming terror » et « Interstellar experience », sortis respectivement en 1987 et 1988 qui font partie des classiques du thrash metal teuton.
A l’époque, on ignorait encore que ces deux pépites allaient ressortir, remastérisées en 2011 par Michael Hoffmann à l’AGD-Hauptquartier de Düsseldorf pour l’occasion, sous forme d’un double digipack agrémenté de deux titres bonus sur chaque CD.
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 08/10
Après le décès en 2006 du principal fondateur de Lock Up, Jesse Pintado, icône de la scène extrême, on se demandait bien si Lock Up allait revenir un jour sur le devant de la scène.
Cinq années plus tard, avec un Anton Reisenegger venu directement de Criminal, le groupe revient avec un nouveau passage à tabac de 16 titres pour une quarantaine de minutes d’une intensité incroyable.
Note du Soilchroniqueur (MetalPsychoKiller) : 8,5 / 10
Noirceur, explosion, risques et périls; Trivium est de retour pour une, voir la sortie majeure Metal de cette période estivale touchant à sa fin. En un peu plus d’une décennie et avec maintenant cinq opus à leur actif, les quatre d’Orlando pointent depuis déjà un certain temps dans la caste si sélective et si enviée des pointures internationales de notre planète auditive préférée
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 10/10
Définitivement, que c’est dur, la vie d’un chroniqueur !
Obligé de jouer des coudes pour être l’heureux élu afin de chroniquer un album live tel que celui là, suscitant l’envie des autres du staff. Tant pis pour eux, ils auraient dû crier « preumz » plus tôt.
Mais là, tel est pris qui croyait prendre ! C’est un coup à devoir s’acheter un Bescherelle ou « Les superlatifs pour les nuls » afin de pouvoir dire avec exactitude tout le bien qu’on pense d’une telle déflagration.
C’est bien simple : ce live est tout ce dont on a pu rêver d’avoir dans les mains un jour.
Note du Soilchroniqueur (MetalPsychoKiller) : 8/10
De l’aube des temps à nos jours, et plus encore depuis la théorie d’un certain Albert Einstein, l’évolution a toujours été sujette à caution ambivalente quant à symboliser la progression ou la régression. Le fait que rien ne reste figé en ce bas monde, l’affirmation que tout élément ne disparaisse point mais génère ou dégénère, est une constante qui ne peut être niée et qui pourrait être calée et calquée sur les pléthores de légions de combos composant notre planète Metal toujours en mouvance et en fusion…
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Cinquième album en 27 ans d’existence, autant dire que le fan hardcore du groupe, si tant est qu’il en reste encore beaucoup dans le death metal old school, a plutôt intérêt à savoir prendre son mal en patience lorsqu’il attend une nouvelle offrande de la bande à Killjoy. Voyez plutôt : fondé en 1984, Necrophagia sort en 1987 un énorme « Season of the dead » avant de réapparaître, en 1998 sous l’impulsion de Phil Anselmo, pour un « Holocaust de la morte » où ce dernier compose la plupart des titres et joue comme gratteux sous le pseudo de Aleister Crowley. Après « Divine art of torture » en 2003 et « Harvest ritual volume I » en 2005, on arrive à 2011 et ce « Deathtrip 69 ». Tout ces albums étant sortis entre une petite flopée de splits, d’EP, compilations ou autres DVD qui n’auront passionné que les fans précités.
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Note du soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10
Autant de beau monde sur le même album laisse envisager plein de bonnes choses. Mais si le niveau n’est pas là, la déception devient encore plus grande. Que nous réserve alors cet album?
Les plus téméraires d’entre vous et lecteurs les plus fidèles, se seront peut être aperçus que ce n’est pas la première foie que je parle de ce groupe, enfin plutôt d’une formation réunissant non moins que Mark Boals au chant, Mike Lepond à la basse, Ango Tassoà la guitare et enfin Rhino à la batterie.
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