Note su Soilchroniqueur (Metalfreak) : 07/10

Les W.I.L.D. – comme Wake Initiated Lucid Dream – ne sont pas à proprement parler des petits nouveaux sur la scène extrême hexagonale mais possèdent déjà une bonne expérience studio et scénique dans la mesure où ils ont fait déjà leurs preuves sous leur ancien nom Wild Karnivor.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):7/10

Le style Progressif sert beaucoup en ce moment. On y classe un nombre incalculable de groupes, quand on a un son ou style propre impossible d’être classé… Quels soucis cette traçabilité et manie de coller des étiquettes, on se perd du coup en définition, et puis on a le progressif qui devient maintenant un espèce de grand fourre-tout. On ne sait pas où ranger, alors on ouvre la porte du placard, on jette dedans ce qui traîne, on ferme la porte et ni vu ni connu…

Note du soilchroniqueur (Nickox): 5/10

Entrer dans la légende, n’est-ce pas le doux rêve caressé par la totalité des groupes de Heavy Metal épique ? Conquérir les fans avec des hymnes prônant l’honneur ou les victoires remportées haut la main en pourfendant du bout d’une lame scintillante les ennemis du Metal. Enfin après avoir répandu la sacro-sainte parole du vrai Metal tels des messies, le couronnement des rois peut alors être célébré !! En général, cet office à lieu dans la bière, avec une autre armée, celle d’une horde de jeunes femmes conquises par le charisme débordant de nos héros !

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10

Fondé en 2001, le quintette de Charenton-le-Pont sort sa première démo en 2006 avant de sortir, après maints soucis de line up, ce premier album « Emerging from the shadows » qui fleure bon le heavy, parfois thrash, à la croisée d’influences telles Bruce Dickinson (époque « The chemical wedding » ou « Accident of birth »), un côté Iced Earth – très flagrant

Vous aviez aimé le report de Julien posté ici ?

Et bien, réjouissez vous avec les clichés qu’il a pris lors de la soirée !!

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak):8/10

Groupe venant de Fismes fondé en 1990, Gang sort, avec ce mini album, sa sixième offrande après « 1993 » (en … 1993), « Unknown but surely evil » (1995), « Piece of war » (2002), « Dead or alive » (2007) et « V » en 2010. Et force est de constater que les gaillards, avec ces six titres plus un ghost track, vont réussir à combiner leur plaisir et le notre.
D’entrée, en ayant le promo en main, on se régale à observer les maints détails de la pochette signée Olivier « Bones » Salin représentant un chimiste frappadingue devant sûrement être de la famille de celui présent sur la pochette du « Chemical invasion » de Tankard : Posters de Judas Priest, Black Sabbath ou Motörhead aux murs, une pile d’Enfer Magazine dans l’étagère, et, dans le chaudron, une mixture à base de vinyles de Kiss, Mercyful Fate, Scorpions, Venom ou Iron Maiden : sacrilège, certes, ultime pour n’importe quel collectionneur de 33t que de voir un tel gâchis de destruction de collectors divers mais un visuel franchement réussi !

Dans le Nord, il n’y a pas que le climat qui peut être rude et froid…
Karnysera, avec ses ambiances glaciales à souhait, montre avec son nouvel album qu’on peut rendre, grâce à un jeu d’ambiances, une musique totalement déshumanisée pour un résultat à vous coller des frissons dans le dos.
Julien Wolf (guitares) se confie à Metalfreak pour une interview / track by track paradoxalement très chaleureuse !

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak): 7/10

Non, à Saint-Etienne, il n’y a pas qu’un chaudron, il n’y a pas que Johnny Rep, ni que Mickey 3D… on a aussi un Fil, un Thunderbird, et quelques groupes de metal. Parmi eux, on a Heavylution qui, après une démo, s’attaque à l’épreuve d’un EP six titres autoproduit.
A la croisée de groupes tels Iron Maiden (influence principale), Iced Earth, Fates Warning ou Queensrÿche, les cinq Stéphanois de Heavylution nous proposent un Heavy Metal racé, aux tendances parfois progressives.
Six titres dont une intro et une outro, trois d’entre eux dépassant les six minutes, un autre de format plus « standard », le groupe nous propose des compositions riches, à grands renforts de breaks bien sentis, jamais barbants ni redondants.