Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 6/10
Que la vie peut être injuste parfois ! Regardez Oomph!, formés en 1989, et pourtant créateurs de la Neue Deutsche Härte, il a fallu attendre 2004 pour qu’ils soient reconnus à leur juste valeur et que leur musique traverse les frontières. Avant, on leur préférait Rammstein et même après, beaucoup affirmaient, dédaigneux et présomptueux : « Oomph! ? Pff ! C’est comme Rammstein ! ». Alors que même la bande à Till Lindemann l’affirme : le trio a été l’une de leur inspirations.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7.5/10
Un peu de douceur et de mélodie ne fait jamais de mal. Certains connaissent, enfin tous normalement, Ritchie Blackmore pour ses talents de guitariste au sein de Deep Purple jusqu’en 1994 puis son passage de trois ans dans Rainbow, excusez du peu ! Un personnage de légende, un artiste culte dans le monde du Hard Rock, qui fin des années quatre vingt dix décide de s’éloigner quelque peu des projecteurs, enfin un tout petit peu, et fonde avec sa femme Blackmore’s Night, jouant alors des titres plus calmes, plus folkloriques.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Plutôt originale, la genèse du groupe Attika 7 dans la mesure où Rusty Coones, meilleur ami du chanteur Evan Seinfeld (chanteur de Biohazard), a composé tous les titres de ce « Blood of my enemies » lors de ses sept années de détention pour une histoire de trafic de drogue. Sept années passées à la prison d’Attica de New York, voilà l’origine du nom de ce groupe formé autour donc de ce Hell’s Angel à la guitare, de Seinfeld au chant, du bassiste Tony Campos (entre autres Soulfly, depuis parti et remplacé par Scott Reeder, ex-Kyuss) et du batteur Tommy Holt pour pratiquer un metal hybride à classer entre Pantera et des groupes beaucoup plus stoner.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):7,5/10
Décidément on n’arrête pas de se prendre des claques…
Le développement des médias, la plus large publication, les réseaux sociaux… Ou alors la suite d’un revival du Heavy Metal Français. Il est difficile de bien juger la raison, mais pour certains le Heavy Français n’a jamais été mort, peut être mis de côté par l’arrivée de l’extrême dans les années quatre-vingt-dix, mais avec pas mal de grandes pointures menant la flamme. Les groupes de plus faible envergure restaient peut être dans leur ombre. Toujours est-il que depuis le milieu des années deux mille, nombreux ont été les anciens combo à se reformer, entraînant du coup un déploiement sans précédent de la scène Hard/Heavy française. L’arrivée des réseaux sociaux leurs permettant peut être maintenant de mieux se faire connaître du public (enfin plus rapidement surtout) ce qui fait que, depuis, on ne compte plus le nombre de jeunes loups qui sortent des albums de grande qualité.
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Zatokrev, quatuor bâlois tripotant dans une veine Doom/Sludge Post-hardcore, nous offre une nouvelle œuvre torturée à souhait, six longues années après leur dernière merveille « Bury the ashes »… et paradoxalement encore trop méconnu.
Gageons que leur récente signature chez Candlelight va changer la donne : si « Bury the ashes » était une merveille, que dire de ce « The bat, the wheel, and a long road to nowhere » ? Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Homer_Fry) : 8/10
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak):6,5/10
Décidément, Xtreem Music a le nez creux pour nous dénicher des petits groupes qui n’auraient pas dépareillé entre 1986 et 1995.
Originaires d’Espagne, de Majorque exactement, les quatre musiciens officient dans un registre death/thrash que n’auraient pas renié Pestilence, Death, Sadus ou Kreator, dans une version plus « death metal crade » que leurs illustres prédécesseurs.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):8/10
Voilà un groupe qui a fait couler beaucoup d’encre. Déjà pour son style musical assez unique, un Heavy joué de la façon la rapide possible et bourré d’une multitude de soli guitares et claviers, vraiment très difficile de comprendre dès le départ, une musique qui part vraiment dans tous les sens. Pour « Ultra Breakdown », on a presque l’impression d’écouter deux cd de Malmsteen. Souvent mal compris et du coup critiqué Dragonforce a fait le plaisir des médias, il faut dire que c’est vraiment le style de groupe où la demi-mesure n’existe pas, on adhère à fond ou on passe à côté. Et ce, depuis « Valley Of The Damned » sorti en 2003, aucune remise en question sur les trois albums suivants. Après, chacun sa manière de penser et de faire ce qu’il souhaite.
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L’offre limitée lancée sur le site officiel du Hellfest pour l’édition 2013 a rencontré un franc succès, tous les pass sont partis comme des petits pains !! En attendant la première rafale de noms, pourquoi ne pas se replonger dans l’édition 2012, avec ce petit récap des beaux reports et des belles galeries parue sur Soil. […]
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