Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Cinq secondes d’intro sur un message subliminal et pan, je t’envoie la purée sur fond de riffs thrash et de vocaux rageurs.
Warfect est là pour tout dévaster et met la pression d’entrée : « Exoneration denied », le titre d’ouverture ne fait pas dans la dentelle. Refrain et couplets hyper speed avant un break qui aurait bien pu figurer sur le morceau « Pace ‘till death » de Bathory (sur « Blood fire death »).
Car oui, on nage dans une veine certes thrash old school mais avec des intonations purement black metal.
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Blackrain, depuis maintenant quatre albums, distille son sleaze / glam de qualité et se professionnalise de plus en plus au point que, désormais, ils n’ont plus à rougir en comparaison des groupe du même genre outre-Atlantique.
Quatrième album à la pochette sobre, simplement nommé « It begins » comme s’ils faisaient table rase du passé en affirmant que c’est désormais que les choses commencent.
On peut le dire ainsi, car quoiqu’on en dise, le passage au télé crochet leur a fait une publicité non négligeable, ce qui leur a sans doute permis de signer chez Sony Music.
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Il est des fois, dans la vie d’un chroniqueur, où la peur de la page blanche est un fait, et rien que la perspective de manquer de superlatifs quand on tombe sur un chef d’œuvre devient un cauchemar sans nom.
Après avoir partagé un lien de ce « Old mornings dawn » sur un réseau social bien connu, un des commentaires a été « Difficile d’évaluer un monument ».
Ou comment résumer en cinq mots cet album : le nouveau Summoning est un monument, ni plus, ni moins.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Oui, Annihilator est en pleine forme et veut clairement en découdre et ce premier titre met clairement des brûlots comme « Human insecticide » (sur « Alice in Hell ») au rang de ballade pour midinettes : chaque fan de thrash old school s’imaginera sans problème que ce titre aurait eu sa place sur « Show no mercy » ou sur « Kill’em all ».
Et le gaillard ne s’en cache pas : « il se trouve que j’avais ces vieux albums de thrash en tête lorsque je l’ai composé » (Jeff Waters dans Metallian n°78 de juillet-août 2013).