Fin Juillet se déroule à Pont Sur Yonne le festival PYHC Fest, la quatrième édition. Organisé par l’asso Icaunaise, il se déroule en deux soirs: un spécialisé Hardcore, l’autre Metal
Pour cette occasion, je vous propose un tour d’horizon des groupes à travers des interview, que ce soit pour les groupes locaux ou pour les « Têtes d’affiches », histoire de vous présenter ces deux grosses soirée qui s’annonce du coté du Nord de l’Yonne.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Il y a des jours, comme ça, où on ne sait pas comment commencer une chronique…
On connaît bien les musiciens, on les apprécie humainement avant de les connaître artistiquement dans leur nouveau projet, ils sont de votre région. Tout ceci doit-il faire que le facteur humain doit prévaloir sur le facteur musical ?
Une lecture de la toile, sur le mur d’un artiste, déçu d’avoir eu une chronique négative, a eu pour conséquence un déchaînement de commentaires relativement crétins par quelques personnes, minoritaires fort heureusement – artistes eux aussi ou ingé-son – et visiblement du même tonneau que leurs propos dignes d’un best of des An(g)es de la téléréalité.

Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 8/10

Et revoilà Saxon ! Les stakhanovistes du heavy métal ! En effet, après « Sacrifice » et « Unplugged and Strung Up » sortis en 2013, ils récidivent en ce début d’année avec cette fois un album live, non pas intitulé « Eagle has landed » (ils nous ont fait le coup 3 fois !) mais St. George’s Day Sacrifice. Enregistré à Manchester, le 23 avril 2013 soit le jour de la fête nationale anglaise (d’où le titre) . Je pars toujours du principe qu’un live de Saxon n’est jamais une mauvaise chose tant le groupe prend soin de ses fans. Et effectivement si il n’y a que peu de surprises sur la playlist , c’est parfait du début à la fin.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10

Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ne font pas les choses à moitié, les Mulhousiens de Blood Reign.

20 minutes, pas une de plus, pour un galop d’essai plutôt réussi duquel on espère évidemment une suite.
Les riffs sont puissants, les morceaux travaillés, la basse omniprésente et la production plus que correcte.
Que demander de plus ?

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10

La légende du Heavy Metal français.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10

Gamma Ray, voila un groupe culte et hautement recommandé.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Avec cette belle réédition de Serenity In Chaos, originellement sorti en 1999 chez VOD Records, on va pouvoir causer pur Death Metal. Je me souviens de la pochette (la première, pas celle qui orne cette seconde jeunesse) qui ornait les magasines métal de l’époque : gros logo efficace, portraits inquiétants, je subodorais déjà le groupe de brutes épaisses mais ne m’étant alors pas procuré le disque, c’est avec un grand plaisir que je découvre aujourd’hui Defaced Creation.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Premier problème, soit j’ai pris ce Carnifex américain pour un de ses homonymes européens, soit j’ai fait une confusion avec les Suédois de Centinex. Dans tous les cas, je ne m’attendais pas à me retrouver avec un album de Deathcore entre les pattes.

Note du SoilChroniqueur (Lusaimoi) : 9,5/10

La soupe froide venue d’un pays chaud.
Voilà à quoi j’ai pensé en voyant le nom de Gazpacho.
C’est tout.
Honte à moi, car le groupe norvégien s’est formé en 1996 et a sorti huit albums, tous plus ou moins affiliés au terme « chef-d’œuvre ». Une constance dans la qualité qu’ils doivent au souci de conserver leur indépendance, grâce notamment à la communication sur leur site Internet et leur forum. Indépendance – malgré leur collaboration avec le très bon label Kscope – qui leur permet de prendre des risques, d’expérimenter, de faire tout simplement ce qui leur plaît sans avoir derrière eux quelqu’un qui leur dit quoi faire pour mieux vendre.

Note du Soilchroniqueur (Arno):6/10

Psychostasia est initialement sorti en 1996 et il faut franchement savoir qu’il s’agit d’une réédition car il sonne moins old school queTerror Of Thousand Faces, arrivé dix ans plus tard. On est donc en plein paradoxe d’un groupe qui, plus il avance dans le temps, plus il joue à l’ancienne alors que cette authentique production de l’époque phare (les années 90), paraît contemporaine