Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10

Du Hardcore/Rapcore aux influences Hip Hop, ça fait longtemps qu’on n’en a pas vu passer chez SoilChronicles. Pour nous rattraper,  j’ai du bon à vous proposer : le nouvel et quatrième album des Américains Deez Nuts, intitulé « Word Is Bond » !

Malkavian y mettra le Feu Jeudi 18 à 20h40
et Breakdust ouvrira le Hellfest Open Air Festivalsur la Mainstage 2 Vendredi 19 à 10h30

Note de la SoilChroniqueuse (Balkiss) : 8,5/10

Est-ce que tu sais vraiment ce que c’est que de te faire absorber par les ténèbres ? Non ? Alors tu écoutes Endlesshade et tu comprendras. Le ton est donné. Voilà. Les notes de piano servant d’introduction au premier titre, ‘PostMortem’ te mettent déjà la pression, te laissent dans une attente fébrile puis, soudain, un gouffre s’ouvre sous tes pieds. Tu entends une voix, un murmure, c’est celle de ton guide pour ce voyage et tu tombes dans le vide, sans filet, tu as confiance, tu te laisses porter… Déjà la voix change, se pare d’une noirceur qui te fait frissonner …

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10

Quoi ? Déjà ?
Un nouvel album de Bloodrocuted alors que fume encore « Disaster strikes back » sorti le 30 mars dernier ?
Meuh non, sot, c’est la réédition de leur premier méfait qui date de 2013, un petit huit titres de 27 minutes qui pose déjà les jalons de ce que les Belges allaient nous proposer deux ans plus tard avec la petite bombe atomique chroniquée ici : http://www.soilchronicles.fr/chroniques/bloodrocuted-disaster-strikes-back

Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 9,5/10

Il arrive que des chroniques soient parfois difficiles à écrire, par manque d’inspiration ou par la platitude de ce qui est proposé à l’écoute, voire encore, je l’avoue à ma grande honte…par flemme. Alors quand on à le bonheur de recevoir un album de la trempe de « Moksha », le nouvel opus de My Sleeping Karma, on sait d’avance que se sera du gâteau ! Le groupe trainait déjà une solide réputation due autant à leurs prestations scéniques qu’à leur travail en studio, tant il est vrai que leur Stoner/Psychédélique est d’une rare qualité.

Live report : Bloodybarbie

Du métal noir, c’est au moins une fois par mois à Paris ! Et ce mois de mai commence avec du très bon. Garmonbozia nous a fait un beau cadeau une fois de plus en nous amenant les norvégiens de Horna au Glazart pour une soirée ténébreuse en l’honneur de Satan. Ils seront accompagnés par leurs disciples: les norvégiens de Tortorum, qui les avaient déjà escortés en 2012 (avec Blacklodge) et les italiens de Fides Inversa.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10

Si dans certains groupes un changement de musicien va souvent de pair avec une modification de la musique, on ne peut pas dire que le remplacement de Guillaume Bideau par Lawrence Mackrory (Darkane notamment) apporte quoi que ce soit de différent aux compositions de Scarve. C’est bien simple, on ne nous aurait rien dit, personne n’aurait fait la différence.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10

Irradiant ne serait-il pas tout simplement le meilleur album de Thrash Death Métal à être sorti dans les années 2000, très loin des groupes sur côtés tels que Terror 2000 ou The Haunted ? La réponse est pour moi évidente et ce pour quelques raisons absolument indéboulonnables.

1 : la production. Claire, puissante, limpide, elle te colle au fauteuil. De toute façon, ce n’est pas la peine de compter en bouger tant les neuf titres ne laissent aucun répit. Scarve assène fessée sur fessée et tue définitivement la concurrence, qu’elle soit nationale ou internationale.

C’est pour bientôt, un concert de sludge de haute qualité signé Stoned Gatherings (comme d’habitude) !

En tête d’affiche: les américains de EYEHATEGOD, épaulés par les hollandais ERDER et le punk du Kentucky JOE BUCK qui ouvrira en solo cette soirée.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Pour ceux qui n’auraient pas suivi, entre la fin de Necrophagist et les débuts d’Obscura, il y a eu (et il y a encore d’ailleurs) Deadborn, des Allemands mal intentionnés pour qui le Death Metal ne saurait être bassement binaire. Du coup, dès son premier album Stigma Eternal, le quatuor a décidé de nous en mettre plein la vue côté technicité.