Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Après la fessée reçue lors de leur passage au Klub le 14 juillet 2015, en format trio, j’ai profité de la présence des musiciens de Bloody Violence au merchandising pour les remercier chaleureusement et acheter, outre un superbe t-shirt, leur premier EP : « Obliterate ».
Je découvre donc les débuts du groupe, d’un niveau comparable à l’excellent premier album « Divine Vermifuge ». Si l’on parle bien évidemment de Death Métal option Brutal, la vraie spécificité de la formation est le jeu de guitare incroyable d’Igor Dornelles.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Pas trop tôt !
La dernière fois que j’avais chroniqué un album de ce trio de fous furieux norvégiens, j’avais terminé mon écrit par un sympathique « On en veut encore, et avant 2018, non mais ! » (si si, là : http://www.soilchronicles.fr/chroniques … on-helvete).
Il est vrai que si sept années s’étaient écoulées entre la sortie de l’antépénultième « Desert Northern Hell » (2004) et son successeur « Legion Helvete » (2011 donc, pour ceux qui suivent), cette fois ce ne sont que quatre petites années qui séparent ce petit nouveau avec son prédécesseur, et le tout sans split dans l’intervalle ! C’est sûr, ça change tout !
Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 6,66/10
Un brin de nostalgie doublé d’une pointe de curiosité, voilà les sentiments qui m’animaient au moment d’écouter « Repentless », nouvel album du mythique membre honoraire du fameux Big 4, Slayer.
Depuis sa dernière production « World painted blood » déjà vieille de six ans, le légendaire combo américain ayant subit bien des déboires entre le départ mouvementé du batteur historique Dave Lombardo, et le décès du principal compositeur en la personne du guitariste Jeff Hanneman, on était en droit de se demander si la flamme brûlerait encore dans l’enfer de Slayer.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ashtar est un duo Suisse, mixte, uni tant dans la vie (mari et femme) que dans la musique.
La chose ne serait pas si surprenante en soi si ce n’est que le couple officie dans un Black / Doom totalement mélancolique avec des relents sludge bien assumés !
Communiqué de presse pour le Hellfest 2016 : Ouverture de la billetterie
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Metallian Productions présente :
Shining (Avant-garde Depressive Black Metal) – Suède
The Great Old Ones (Dark Atmospherique) – Bordeaux
Nocturnal Depression (Depressive Black Metal) – Grenoble
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) 6/10
Par la présente chronique, je vais vous faire part de cette rude déception !
On attendait tellement de Soilwork, qui nous a offert quelques mois plus tôt un sublime album live « In The Heart Of Helsinki » (2015), un assortiment du meilleur de leur carrière, ou encore leur dernier double album bien dense : « The Living Infinite » (2013) que j’avais d’ailleurs adoré. Qui aurait pu prédire que la suite serait… aussi décevante ?
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Sacré personnage que ce Tuomas Saukkonen : véritable bourreau du travail, il a déjà sorti une quantité impressionnante d’albums avec bon nombre de groupes – ou projets solo – et jouit déjà, à seulement 35 ans, d’un CV pour le moins très fourni : sept albums et deux EP avec Before The Dawn, un split et trois albums avec Black Sun Aeon, un EP avec Bonegrinder, un album avec Dawn Of Solace, même chose avec RoutaSielu et The Final Harvest. Rajoutons à ça quelques apparitions en guest sur les albums de formations diverses comme Dark The Suns, Lunar Path, Nonexistence, Rain Of Acid et Sinamore et ça donne une idée de la boulimie artistique du Finlandais.
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Note du SoilChroniqueur (ShaK) : 6,5/10
Partis voler de leurs propres ailes, la paire BRODERICK – DROVER, respectivement ex-guitariste et batteur de MEGADETH, nous sort donc sa première galette. Que nous réserveraient ils avec ce nom de groupe évocateur « Act Of Defiance » ?
Je ne rentrerai pas dans les considérations ni les possibles raisons de leur départ de MEGADETH, en effet, en bon chef d’entreprise, on peut imaginer que le père MUSTAINE a bien ficelé les conditions de la séparation, inutile donc de faire des suppositions qu’il nous sera impossible de vérifier.
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Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 8/10
Les gars de Parisian Walls ont eu la bonne idée d’insérer leur provenance dans le patronyme de leur groupe. Ainsi, rien qu’à leur nom, on sait qu’ils sont originaires de notre bonne vieille capitale et non de l’autre côté de l’Atlantique.
Non, parce que tout mis à part l’indice révélé plus haut laisse à penser que le quintet est américain. L’objet et son artwork travaillé signé Richey Beckett (ceux de Baroness, entre autres), la musique, avec un Metalcore redoutable d’efficacité à aspect mélodique très présent, la production en béton armé (celui dont on se sert pour les bunkers antiatomiques), le chant d’une puissance vindicative absolue…
Il faut dire aussi que si The Eternal Hunter est le premier album des Parisiens, nous n’avons pas du tout affaire à des petits jeunots. On retrouve des membres de S-Core, All the Shelters et L’Esprit du Clan, des groupes dont les noms doivent rappeler quelque chose aux amateurs de Hardcore français, le dernier en particulier.