Note du SoilChroniqueur (Hibou Noir) : 8/10
Ce qui est étonnant avec cette galette épaisse et malsaine, c’est qu’il ne s’agit que d’un EP.
Quatre titres seulement, mais qui suffisent amplement à dire ce que les Belges ont à nous raconter.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Ah, le bon vieux hard FM !
Dieu sait que, malgré mon adoration pour les sons plus thrash, old school de préférence, ceux qui tabassent en vous collant leur hargne pleine face à grand renforts de riffs saccadés, je reste un fan de ces sonorités sirupeuses à souhait, au format standard histoire de bien passer dans les radios, et surtout taillées pour faire mouche dès la première écoute grâce à des refrains imparables et des bonnes grosses guitares qui cartonnent !
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Amon Sethis et Flayed vont accompagner Sidilarsen lors de la date de Rillieux-La-Pape (69) le 4 décembre 2015 à la MJC Ô Totem
Vu la qualité de l’affiche, inutile de préciser que c’est A NE PAS MANQUER, chacun l’aura compris !!!
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Alors là, oui !
Depuis 2002, les Irlandais de Gama Bomb nous distillent un thrash (crossover) old school des plus rafraîchissants.
Trois albums réussis chez Earache Records entre 2005 et 2009 avant de signer chez AFM Records pour nous envoyer le quasi parfait «The terror tapes » en 2013.
Aucun changement de line up à signaler depuis le dernier album, ce sont donc les mêmes cinq frappadingues qui nous balancent ce «Untouchable glory » d’à peine une demi heure pour douze titres tous impeccablement exécutés et à la pochette aussi kitsch que cinématographique.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Yesssssss, enfin !
J’avoue avoir une grosse tendresse artistique pour ce guitariste hors pair.
Chris Holmes, 57 ans au compteur et surtout guitariste sur des albums intemporels comme ont pu l’être certains album de W.A.S.P.entre « Wasp » (1984) et « Unholy terror » (2001) dont notamment les inimitables « The headless children », « The crimson idol » ou autre « Wasp » et « The last command ».
Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 10/10
Comment vous dire ?
Parler d’un nouvel album de Circle II Circle, c’est pour moi comme être dans la position du petit chien qui attend sa friandise après un tour réussi. Je tire la langue et je bave, tellement j’aime le combo américain (euh… en fait c’est surtout Zack Stevens que je vénère !).
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A la base ce sont quatre potes tous très occupés par des projets tel que Rest In Peace, Hellixxir ou Spooky Dub et qui décident de monter un cover band de Bruce Dickinson. Mais très vite, des compositions arrivent, ainsi que des dates, et le groupe se met à composer des chansons tout en gardant le nom du projet car il reflète bien l’état d’esprit du groupe.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10
Vous en voulez du qui déboîte ? Du qui vous ferait boire une pinte de bière chaude cul sec? Du qui vous ferait vous éclater une quinzaine de côtes dans un pogo? Du qui vous fait headbanguer à en faire pâlir d’envie les gonzesses des pub Loreal?
Voilà une excellente surprise que ce Overcharger. De l’excellent Southern Metal débordant d’énergie. Cette jeune formation bordelaise qui sort son premier opus avec le label montant en puissance Finisterian Dead End.
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Si je mélangeais un bovin et un fruit vert, j’obtiendrais… ? Une vache-kiwi ! Si je mélangeais une orange et un employé, j’obtiendrais… ? Une clémentine-salariée ! Et si je mélangeais Symphony X et Arch Enemy, j’obtiendrais… ? J’obtiendrais… ? J’obtiendrais Chaos Frame, du « Progressive Metal With Balls » (je vous épargne la traduction velue) pour citer leur étiquette facebook.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ce qu’il y a de bien avec George Lynch, c’est qu’il n’y a jamais mensonge sur la marchandise.
La simple vue d’un nouvel album de Lynch Mob ou un autre de ses projets est l’assurance de passer au minimum un bon moment.
C’est déjà ça, ils ne sont pas si nombreux les musiciens confirmés qui peuvent prétendre à la même chose.
Là, pour le coup, Lynch Mob nous ressort son premier album depuis l’excellent « Smoke and mirrors » qui date déjà de 2009, et le sixième du nom.